1. Je serai pendu demain matin


    Datte: 31/10/2019, Catégories: f, fh, couple, amour, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Humour fantastiqu, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... personnes qui le peuplent et, mon côté voyeur aidant, si je manquais cruellement d’expérience sexuelle avant ma pendaison, j’accumule rapidement une connaissance encyclopédique sur le sujet et toutes ses déviances possibles :
    
    • le sexe plan-plan dans le noir de monsieur et madame de Laze (et encore, à peine une fois par mois) ;
    
    • le troussage "à la vide-couilles" qu’affectionne Lawrence, le frère aîné de Jane, sur les très nombreuses femmes de chambre ou autres membres du personnel féminin du château ;
    
    • la domination sans faille que Ronald Smith, le régisseur du château, exerce sur sa femme et sa nièce ;
    
    • la pédérastie de William Hacksford, le maître d’écurie, auprès de ses jeunes lads ;
    
    • la charmante masturbation de Jane, sujet d’étude favori pour moi, d’autant plus que mon nom y figure toujours en bonne place.
    
    À chaque fois, je suis là. Je rôde et j’apprends. Apprentissage qui vous semblera bien inutile puisque ma connaissance, si elle devient abondante, reste toute théorique et que jamais je ne pourrai la mettre en pratique.
    
    Ce soir-là, seule dans sa chambre, Jane lit un livre à la lueur de bougies disposées sur chaque chevet. Apparemment, si le héros de l’histoire romantique qu’elle lit a un prénom, il doit porter le même que le mien car je l’entends distinctement prononcer mon prénom plusieurs fois : « Thomas… hmmm… Thomas… » murmure-t-elle.
    
    Captivé, je l’observe poser sa main sur sa poitrine. À travers sa chemise de nuit, elle caresse avec ...
    ... sa main gauche ses tétons qui durcissent visiblement tandis qu’elle conserve tant bien que mal son livre dans sa main droite. Jane a hérité de sa mère de magnifiques seins en poire qui, malgré leur taille conséquente, ont toute la fermeté de sa jeunesse. J’avoue à ma grande honte qu’avant même son doux visage, c’est sa poitrine qui m’avait attiré en premier.
    
    Abandonnant l’idée de poursuivre sa lecture, Jane pose son livre sur le chevet, se redresse, et ayant défait les lacets entreprend de faire passer sa chemise de nuit par-dessus sa tête. Elle se retrouve ainsi là, allongée en travers de son lit, et je peux l’admirer dans toute son exquise beauté. Ses tétons, déjà bien gros en temps ordinaire, pointent orgueilleusement. De ses doigts délicats elle les pince légèrement puis, fermant les yeux, elle malaxe ses seins, les pressant l’un contre l’autre. Elle éprouve visiblement du plaisir à ces caresses, mais il lui en faut plus.
    
    Abandonnant ses tétons, sa main droite glisse sur son ventre et vient caresser sa jolie toison auburn. Écartant les cuisses, elle me permet de contempler sa petite vulve qui me semble déjà toute humide et son clitoris qui pointe, appel muet à la caresse.
    
    Elle va chercher un peu de sa liqueur puis commence à appuyer sur ses nymphes dans un geste circulaire autour de son sexe, sans jamais y pénétrer. Rapidement cependant, elle ressent le besoin de rapprocher ses doigts de son clitoris. Sans le toucher directement, elle fait glisser de haut en bas ...
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