1. La reine des fourmis


    Datte: 30/10/2019, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, inconnu, copains, groscul, magasin, caférestau, boitenuit, anniversai, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, Oral légumes, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, portrait, initiatiq, initfh, bourge, Auteur: Ln007, Source: Revebebe

    ... d’excuse de ne pouvoir en faire plus. Et puis, au moment où il accélère pour achever de le doubler, elle se penche à la portière et agite les mains pour lui dire au revoir. Derrière, le camion n’en finit pas de réclamer du rab à coups d’appels de phares.
    
    — J’ai bien l’impression qu’il était en train de se masturber, glousse-t-elle pendant qu’elle se rajuste.
    
    C’est un de ces énormes hypermarchés de banlieue situés en zone industrielle. Ils traversent le parking désert et passent par derrière, à l’accueil des livraisons. Trois appels de phare comme convenu et ils sortent de la voiture. Elle est devenue soudain très tendue et a chaussé des lunettes de soleil. Elle allume une cigarette, tire dessus nerveusement. Une porte métallique s’ouvre, un grand type noir en sort d’un pas nonchalant. Lorsqu’il arrive à leur hauteur, elle le reconnaît. Son visage s’empourpre immédiatement et elle jette un regard noir à son ange gardien, lequel lui renvoie un sourire innocent. Après tout, ce qui est prévu cette nuit sera sans commune mesure avec ce qu’elle lui a déjà montré d’elle. Alors, qu’il l’ait déjà vue en train de forniquer n’a pas beaucoup d’importance. Il la verra plus en détails cette fois, et aura peut-être le droit de la toucher en prime. Et puis, elle se surprend à repenser à sa queue. Cette belle grosse queue, comme celle de son compatriote, qu’elle rêvait de s’enfiler.
    
    Lui, il est justement en train de penser qu’il va bientôt l’enfiler, si tout se passe bien. Il la ...
    ... trouve très désirable, avec ses fringues de petite bourgeoise sexy et pulpeuse, et cette expression un peu dure qui cache si bien sa personnalité. Ils restent un moment immobiles, ne sachant quoi se dire, puis elle lui décoche un petit sourire énigmatique qui vaut tous les mots, comme sur la terrasse.
    
    Ils traversent un sas et arrivent dans le magasin. Ça lui fait un drôle d’effet, ces innombrables caisses vides, cette lumière blafarde, ce silence. Elle commence à se dire que le rêve est une chose et que la réalité en est une autre. Elle est moins emballée.
    
    Il se tourne vers elle et elle voit dans son sourire l’apparente bienveillance d’un directeur de centre commercial le jour de l’inauguration.
    
    — Que Madame profite qu’il n’y a personne pour faire ses emplettes, lui lance-t-il avec emphase.
    
    Elle ne bouge pas. Elle attend la suite des instructions.
    
    — Nous, on reste dans le bureau de la caisse centrale en tapant le carton. Quand la lumière s’éteindra, il faudra laisser le chariot dans un coin et retrouver ton chemin toute seule.
    
    Elle a compris. C’est plutôt une bonne entrée en matière.
    
    — C’est parfait. Je vous remercie de votre présence autant que de votre discrétion, messieurs !
    
    Elle empoigne un caddie et se dirige vers les rayons. Le dos tourné, elle enlève ses lunettes inutiles. Les vigiles la regardent s’éloigner d’un pas lent, la croupe moulée dans son tailleur, se balançant magistralement sur ses hauts talons. Pour le moment, elle serre les dents et se ...
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