-
V engeance d une femme
Datte: 29/10/2019, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... médiocre garçonnière car je ne pouvais concevoir qu'il n'eût de nombreuses maîtresses et conquêtes qu'il amenait ici en basse saison. Il rougit. Cela m'émut. D'autres mâles en pareille circonstance m'eurent déjà pris par la taille, embrassé et déposé sur leurs genoux. Je résiste peu aux façons des soudards. Telle une fille à soldat je suis résolue alors à être docile, à me donner. Ainsi accroupie le branlais-je et le suçais-je tel un amant de passage. Je vis à cet instant que je devrais tout faire et prendre l'initiative. Mon Jacques était un nigaud, un pataud. Du moins m'en convainquit-il ce jour-là. Je ne l'en allumais pas moins. J'étais décidé à ce qu'il bandât pour moi et qu'il l'exprimât. Aussi je le sommais de me jouer de sa guitare et m'asseyais sur le lit en face de lui, cuisses tout à fait écartées. De toute façon il ne fallait pas grand-chose pour qu'on put se repaître entre de la couleur et la matière de ma culotte. Celle-ci était tout exhibée. J'adorais faire cela des fois au restaurant avec l'assentiment du mari excité. J'avais choisi une culotte mauve dont la transparence si lubrique laissait trop transparaître le détail de ma chatte. On en suivait facilement le dessein, le relief ainsi que de rares poils pubiens. Pour ajouter à ma perversité et tandis qu'il jouait cet air idiot et célèbre des jeux interdits, je feignais de vouloir refermer ces cuisses affectant une pudeur vaine. Ce jeu ne pouvait que l'exciter davantage. Je savais mes bas noirs excitant. ...
... Tout homme aspirait à aller toucher cette chair blanche qui affleure là-bas vers à leur naissance tout au confluent d'une culotte gonflée d'un lourd désir. J’espérais que le pauvre Jacques fut bientôt à point. Je n'en regardais pas moins l'heure tourner. Il ne restait à présent que deux heures. Je choisis ce moment pour un propos impertinent qui marquait le début de mon attaque décidée. Je dis : « Jacques savez-vous qu'à l'heure présente, j'ai envie de faire une bêtise et de faire payer à mon mari la peine qu'il m'a fait. Bref il me faut un homme. Je veux que celui-ci me baise tout son saoul. » Cette exorde le cloua sur place. Il resta interdit suspendant sa musique. Ahuri il fit mine de n'avoir pas compris. Il eût presque regardé derrière lui. Non il s’agissait bien de lui. Mes propos lui étaient destinés. Je souriais et savourais son air désemparé. Renchérissant j'ajoutais : « Vous ne voulez pas que j'aille jusqu'à la route héler un de ces solides routiers qui lèvent les filles et usent de vos prostituées ? « « Vous savez qu'ainsi accoutrée je ne ferais long feu. Puis j'adore sucer. J'ai déjà fait cela dans une cabine de routier. » Interloqué il baissa la tête regardant le sol. Je dus me lever et m’approcher de lui. Je lui caressais les cheveux. J'étais tendre comme s'il se fut s'agit d'un jeune homme. Tout allât assez vite. Cela se déroulât comme dans un rêve. Je me souviens de m'être accroupie devant lui. De lui avoir ouvert la braguette. D'en avoir extirpé une ...