1. V engeance d une femme


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Nous devions prendre la route dès le lendemain. Une dernière dispute grevait ce séjour par ailleurs merveilleux. La colère me rend souvent rancunière. Je ne sais ce jour-là ce qui passa par ma tête. Je voulais me venger assurément. Cependant je ne devais en arriver à une telle extrémité. Je l'ai regretté trop tard. Je n'en ai pas conçu pour autant un remords éternel. Je m'absous volontiers de ce genre de péché. Je dois concéder que je suis une mauvaise fille et pour tout dire une salope. Jacques notre hôte et ami en a tant profité cependant. Il a su doctement en garder le secret.
    
    Il faut être amateur de montagne et de ce genre de chalet. C'est le grand air. La lumière est belle. La solitude vous étreint. Cela lave le citadin de tous les miasmes de la vie moderne. Mon mari et moi nous avons toujours aimé nous ressourcer en ces endroits. Nous tachions de nous tenir à des résolutions. Ne pas fumer inconsidérément. Crapahuter. Manger sainement. Faire l'amour à n'en plus finir. Nous renouions ainsi avec l'élan de la jeunesse. Ce fut mon homme qui dégotât cette location d'un bon rapport qualité/prix. Nous sympathisâmes d'emblée avec l'hôte : Jacques.
    
    Il était bel homme et sa soixantaine approchée outre de lui avoir blanchi le cheveu, lui conférait une sorte de charme. Il ressemblait à mon défunt père. Je vous vois ricaner et en tirer des supputations freudiennes. L'homme était charmant si délicat. Il sortait volontiers sa guitare et nous abreuvait de toutes sortes de thèmes ...
    ... et de mélodies célèbres. Étrange trio, il me renvoyait à cause de cette guitare à la fameuse scène du film Jules et Jim de François Truffaut. Il était cependant exclu que nous nous fracassions tous trois dans une voiture. Il parut d'emblée que je plaisais à Jacques.
    
    Celui-ci voyait bien mon lien profond avec mon mari et nos cernes autour des yeux témoignaient chaque matin que nous avions baisé comme des fous toute la nuit. Jacques avec humour nous signalait que c'était caractéristique du coin. Tous les couples sacrifiaient ici aux sarabandes de Venus. Il demeurait dans une aile éloignée du chalet. Il n'était pas susceptible d'entendre nos gémissements ainsi que le bruit martyr des ressorts du lit. Encore qu'une nuit mon mari crut voir une ombre à la fenêtre. Il émit l'hypothèse que ce pouvait être Jacques en coquin et voyeur.
    
    Je pris sa défense. Il m'était insupportable qu'on abaissât cet homme a une vile pratique. Non pas que je dédaignas le sexe sous l'angle sordide du vice. Au contraire je ne répugnais pas à baiser des fois en extérieur peu loin des voyeurs. Ceci activant mon désir mais là j'éprouvais comme un dépit qu'on rabaissât l’image digne d'un homme. Mon mari secrètement jaloux s'en fit un jeu. Il n'omettait pas une occasion sacrilège de supputer que derrière le mur Jacques peut-être nous épiait et nous écoutait. A force je m'en fis moi-même une réalité. Cela me parut peu à peu vraisemblable.
    
    Ce qui put me confirmer en cette intuition était qu'à mesure le ...
«1234»