-
V engeance d une femme
Datte: 29/10/2019, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... Jacques devant moi baissait les yeux comme s'il eut perpétré un péché honteux. Il y avait une gêne entre nous. Il ne s'agissait plus de la première impression que j'avais suscité sur lui dès le premier jour. Son sentiment ou son désir était devenu comme plus clandestin voire obscur à mon égard. Je n'en fis point part au mari. Je glissais inexorablement sur une pente. L'attrait du fruit défendu brillant dans la nuit. Je ne voyais pas comment je ne pourrais pas y céder. Il ne manquait que l'étincelle pour embraser route la savane. On eût dit que mon mari avait fait exprès comme pour aller au-devant de mon désir. Pour une peccadille nous nous primes le chou. Il faut dire pour démystifier cela que nous en étions fort coutumiers. En effet nous mettions souvent un point d'honneur à clore un séjour par une de ces scènes de ménage. Façon peut-être de nous gratifier d'un bel holocauste pour mieux nous rabibocher ensuite. Ainsi mon mari n'y vit rien de particulier ni d'original. Une fois de plus nous bouderions dans la voiture lors du périple de retour. Puis nous baiserions tels deux fous la nuit. La conséquence de notre dispute fut que mon mari allât seul quérir des objets au magasin de souvenirs dont nous avions fait ensemble et doctement la liste. J'étais un peu frustrée d'être exclue de ce shopping. Cela ne fit qu'exacerber ma colère. Je me trouvais punie. Il me fallait trouver une compensation à la hauteur. Ainsi avais-je ourdi un plan. Je comptais que mon homme serait ...
... absent quatre bonnes heures. La route était peu praticable en la saison car saturée et de touristes et de routiers. Qui plus est et pour me faire rager, mon mari décida à s'offrir un gueuleton quelque part. Je ne sais pourquoi je débitais tout cela à Jacques étonné que je n’accompagnas mon mari. Il perçut tout mon dépit et bientôt la circonstance de cette brouille. Il tint à défendre cependant e mari invoquant l'orgueil coupable des mâles. Il voulait nous rabibocher et même se disposait à m’emmener à la ville pour le rejoindre. Je l'en dispensais. Moi-même j'étais une orgueilleuse tandis que cheminait dans ma tête un projet pernicieux. Je mis cela rapidement à exécution. Notamment je décidais tout de go que je rejoindrais Jacques plus tard en sa petite chambre. Il sursauta. Il vit que mon propos ne supportait pas qu'on lui résiste. Je pris ma douche hâtivement. Me maquillais plus que de raison et adoptais surtout un chemisier qui avantageait mon haut de seins et une mini-jupe dont je savais l'effet ravageur et qui laissait voir tout du haut des cuisses dont une chair blanche et capiteuse à la naissance du bas. Juchée sur des escarpins hauts je savais être ainsi une petite salope. Je pus me réjouir de lire la stupeur dans les yeux de cet homme qui à l'instant et de loin m'évoquait encore mon vieux père défunt. Un feu sulfureux flottait dans l'air. J'examinais avec malice ce lieu qui trahissait le vieux garçon. Par provocation je lui suggérais quelqu' aménagement dans cette ...