Le Village en folie (7)
Datte: 29/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: simson3, Source: Xstory
... qu’ils avaient tout prévu d’avance : ton père est alors disparu et est revenu tenant dans ses mains des lanières de cuir, une cravache et... le gode-ceinture de ta mère.
— Ça ne m’étonne pas, fit la rouquine au grand étonnement d’Alicia. Mes parents ont toujours traîné un ‘kit d’urgence’ dans leur voiture.
— Ils m’ont arraché ma petite robe puis m’ont jetée et attachée sur le lit. Je mouillais déjà à en tordre ma culotte. Mon petit vêtement ne résista pas longtemps aux mains de ton père. Il prit possession de moi comme un taureau enragé. Mes seins ont ressenti plusieurs morsures, autant d’un homme que d’une femme. J’ai cru que mon vagin allait éclater, tellement l’organe de ton père était énorme. Je crois pourtant avoir joui à au moins deux reprises, sous les souffrances.
« On m’a par la suite fait mettre à genoux. J’ai reçu une pluie de coups de cravache et – elle laissa échapper un sanglot – j’aimais toujours ça ! Ça faisait mal et j’en voulais davantage ! Je me suis finalement relevée, ton père me faisait dos, debout devant moi. J’ai sauté à son cou, je voulais sentir son odeur de près. Par en arrière, je l’ai enlacé de mes bras. Il m’accrocha alors les jambes autour de sa taille avec ses bras, me retenant de la sorte sur son dos. Il offrait ainsi mon derrière à ta mère. En tournant la tête et en regardant par-dessus mon épaule, je la vis qui s’approchait de moi en marchant, son gode-ceinture attaché à elle. Son regard était bizarre, presque inquiétant !
« ...
... Elle fit alors taper son gros pénis artificiel contre mes fesses, pour me faire sentir sa masse imposante. Je recommençai à mouiller immédiatement. J’en avais tellement envie ! Elle s’accroupit derrière nous, ma poitrine étant toujours collée au dos de ton père qui était resté debout. Mes deux jambes étaient toujours relevées et accrochées à ses bras. Jasmine se mit alors à me lécher l’anus, de plus en plus fort, de plus en plus profondément dans mon petit trou qui se relâchait lentement, puis se redressa partiellement sur ses jambes, juste assez pour permettre à son gode de commencer à me pénétrer. Elle acheva progressivement de m’engoder à fond en terminant de se redresser sur ses jambes. Je le sentais gros ce gode, on aurait dit un pénis de cheval !
« Alors commença la partie la plus intense de toute la soirée. Jasmine demeura immobile, debout derrière moi, son gode profondément enfoui dans mon cul, et Jérôme se mit à sautiller sur place, m’entraînant avec lui et forçant l’instrument à me labourer le rectum sans aucune réserve. Au début, c’était très agréable, ça glissait parfaitement bien, les sensations étaient extrêmement plaisantes et je sentais l’instrument aller très loin dans mon derrière, mais avec le temps, l’inconfort et la douleur s’installèrent. »
Les larmes se remirent à couler sur les joues de la malheureuse.
« Plus ça faisait mal, plus j’aimais ça ! Cela a duré un bon cinq minutes, après quoi nous sommes tous retombés sur le lit, à bout de souffle. ...