Le Téléphone sonne, tu décroches (1) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (1)

... posture dans laquelle elle se révèle, je la trouve très bandante, car elle est un peu « cassée » vers l’arrière, coudes sur la table mettant sa poitrine en valeur, bassin sur le bord et pieds au sol. Son pubis est donc mis à l’avant-plan et semble être un appel à une nouvelle pénétration. Et, à mon grand étonnement, Éric s’empare du gode qui siégeait sur la cuisinière pour le donner à mon épouse qui n’en croit pas ses yeux.

— Que veux-tu que je fasse avec ça ?
— À ton avis !
— Non, mais tu n’es pas vite gêné ! Non seulement tu ne m’accordes pas le plaisir, que je souhaitais, en ne pensant qu’à toi, bien sûr, mais en plus, tu te permets de me demander d’utiliser ce gode. Tu te moques de moi ?
— Pas du tout ! Et ce n’est pas une demande, c’est un ordre. Tu vas te masturber devant moi et avec ce gode et dépêche-toi.
— !!!!????

Le ton employé n’admet aucune équivoque.

Il veut la soumission de mon épouse et cela je ne peux l’accepter et je crois que Manon n’en veut pas. J’allais sortir de ma cachette afin d’intervenir rapidement et chasser cet individu de la maison, mais qu’elle n’est pas ma surprise de voir mon épouse se mettre debout, mais toujours le bassin en appui sur le bord de la table, prendre le gode que lui tend Éric pour l’amener à sa bouche, baissant les yeux en signe de obéissance.

Je n’en reviens pas. Jamais, je n’ai osé parler de la sorte à Manon et encore moins lui donner des ordres de cette manière. Bref, je reste caché, car, apparemment, elle ...

... accepte la situation. Les rôles sont, totalement, inversés. Elle qui semblait bien gérer le cours des choses, se retrouve dans la position du dominé. Le comble, ce qu’elle donne l’impression d’en être satisfaite.

Après avoir enduit le gode de salive, elle le porte franchement à l’entrée de son vagin et le pousse lentement au fond de celui-ci pour le ressortir et le monter jusqu’à son bouton de plaisir. Elle recommence plusieurs fois avec un rythme lent. Chaque sortie du gode, dans un clapotis caractéristique, laisse échapper un peu de sperme. Sa main en est pleine ainsi que l’intérieur de ses cuisses. Les yeux fermés, elle gémit doucement et commence à prendre son plaisir, car, de son autre main restée libre, elle se caresse la poitrine et se pince les bouts qui recommencent à s’ériger. Il doit se passer beaucoup d’images dans son cerveau, mais l’insolite de la situation doit lui plaire et l’exciter très fortement. Jamais, elle ne pouvait s’imaginer pratiquer une telle exhibition devant un inconnu.

Sa bouche s’entrouvre pour laisser passer des petits cris de plaisir, elle accélère la cadence, ses hanches ondulent et on sent la délivrance proche. Dans un dernier sursaut, elle pousse un ultime râle de volupté très long et s’abandonne, enfin à l’orgasme.

Elle ouvre les yeux et aperçoit Éric qui a repris de la vigueur en la regardant faire.

— Garde-le dans ta chatte et reprends la position que tu avais tantôt sur la table.
— Mais !!!
— Ne discute pas !

Je ne ...