Je trompe ma femme avec sa meilleure amie (1) - Histoires de Sexe

Je trompe ma femme avec sa meilleure amie (1)

... arriver au creux de ses fesses, son parfum me rendait fou et je devais me retenir pour ne pas la violer sur place ! Elle bougea, et mon souffle l’ayant peut-être chatouillée, elle écarta les jambes, la replia, et m’offrit alors une vue imprenable sur son entrecuisse. Je voyais sa fente entrouverte entre ses poils luisants de sueur, et peut-être d’autre chose plus trouble... je devinais son petit trou un peu plus haut entre ses fesses, et cette vision associée à ses effluves forts et terriblement sensuels me ramena à une discussion que j’avais surprise entre ma femme et Isabelle... Elles ne savaient pas que je les entendais et elles parlaient de leurs expériences sexuelles avec les hommes.

J’appris ainsi que ma femme avait baisé avec deux de mes amis en même temps sans me le dire, qu’elle les avait fait jouir tous les deux, un dans sa bouche et l’autre dans sa chatte, la cochonne ! Elle avait pris son pied et sans rien me dire, elle était venue me rejoindre pour m’offrir sa chatte trempée de sperme sans que je m’en rende compte; habitué que j’étais à sa mouille abondante. La cochonne ! Je m’étais juré de me rattraper un jour...

Mais ce qui me revenait maintenant, en admirant le sillon fessier d’Isabelle, c’est qu’elle avait raconté comment elle s’était fait enculer par son frère, il y a quelques mois. Il était un peu plus jeune et je le savais très pudique, je l’avais vu en effet au vestiaire, monté comme un âne, mais toujours gêné par sa nudité. Avec une queue ...

... comme la sienne, il n’avait pas de raison de se cacher, mais bon... comme ils avaient tous les deux des rapports assez incestueux, ils avaient fini par passer à l’acte. Elle n’avait pas voulu qu’il la baise dans la chatte et elle lui avait offert son anus pour éviter tout risque... Elle avait souffert, racontait-elle, au passage de son gros gland qui lui déchirait l’anus, mais une fois ce gros morceau passé, elle avait senti sa longue queue s’enfoncer en elle en entier et elle avait joui en sentant ses grosses couilles s’écraser sur sa fente.

Cette image de mon souvenir se superposait avec la vue de ses fesses offertes, emperlées de sueur qui s’écoulait doucement entre ses deux globes et allait se perdre sur son anus et plus bas dans ses poils. Je n’en pouvais plus ! Il fallait que je passe à l’action... Je pose mes mains sur ses fesses en les caressant, j’écarte doucement ses deux fesses et j’approche mon visage de son petit trou convoité. L’odeur est forte et mon sexe durcit encore, je pointe ma langue et commence à lui lécher l’anus doucement, son goût me fait grimper encore d’un cran, je pousse un peu, sa rondelle s’ouvre doucement, se dilate; et je pousse encore ma langue dans son anus froncé. Isabelle bouge, je m’arrête, elle écarte encore les cuisses dans son sommeil et elle gémit doucement. Je reprends ma visite et son petit trou qui s’est ouvert accueille maintenant ma langue bien roulée en pointe pour aller le plus loin dans ce cul que je rêve d’occuper.

Les ...