1. Je trompe ma femme avec sa meilleure amie (1)


    Datte: 26/10/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Manouco1280, Source: Xstory

    Elle était étendue; nue, les jambes légèrement écartées, des gouttes de sueur perlaient sur ses reins et son souffle était tranquille, tout indiquait qu’elle dormait...
    
    C’était il y a pas mal d’années, nous avions loué une maison à côté d’Aix-en-Provence avec ma femme et quelques amis. Un été très très chaud, avec de nombreux incendies. Nous passions la majeure partie de la journée, à moitié nus, à chercher le frais, et à nous baigner, et même, parfois, totalement nus; personne ne s’en préoccupait vraiment; enfin, pas tout à fait personne; car moi je ne pouvais pas m’empêcher de trouver nos copines sacrément sexy, les voir se balader à poil devant moi, leurs seins luisants de sueur et leurs sexes à moitié cachés par de jolies touffes de couleurs diverses, à l’époque, la mode n’était pas à l’épilation et je pouvais admirer une touffe noire, deux ou trois blondes, et une, magnifique, ma préférée, touffe rousse, celle d’une de nos copines rousses ou plutôt blond vénitiennes.
    
    Elle me plaisait tout particulièrement, et j’avais du mal à la quitter des yeux lorsqu’elle baladait son joli cul devant mes yeux, et ses seins pas trop gros, mais avec de jolis tétons roses et presque toujours en érection. J’avais l’impression qu’elle venait toujours de se caresser les seins et de se faire bander les tétons ! Mais par-dessus tout, ce qui me faisait grimper aux rideaux et m’obligeait à couvrir d’une façon ou d’une autre ma queue en train de gonfler et de durcir, c’était son odeur... ...
    ... Cet été-là, la chaleur était intense, et tous, nous transpirions beaucoup, et toutes les filles passaient leur temps à se laver pour ne pas sentir ! Quelle connerie ! Je ne pouvais pas leur dire que leur odeur m’excitait terriblement, mais j’adorais quand leurs aisselles commençaient à laisser échapper quelques effluves épicés, chargées de phéromones sexuelles, et annonciatrices d’autres odeurs plus intimes.
    
    La seule qui ne courait pas se laver toutes les 5 minutes c’était notre copine rousse, nommée Isabelle et qui se fichait complètement de son parfum musqué qui embaumait autour d’elle dès les premières chaleurs de la journée. Pour moi, c’était un bonheur, les autres lui disaient : « Isabelle, tu pues vraiment, va te laver ! », et moi seul appréciais son parfum de rousse qui me retournait les sens. Je la soupçonnais d’avoir remarqué l’effet qu’elle me faisait, une fois, où elle était restée près de moi pendant suffisamment longtemps pour que son parfum agisse sur moi, nous étions allongés sur le ventre en lisant; en tout cas, moi j’essayais de lire. Sa jambe nue frottait de temps en temps ma cuisse, le parfum de son corps me faisait un effet de plus en plus fort et je ne savais plus comment m’arranger avec une érection douloureuse qui m’empêchait de me retourner et de me lever.
    
    Elle devait sentir mon trouble, elle sentait peut-être mes propres phéromones dues à mon excitation, en tout cas elle se retourna et à quelques centimètres de moi se mit sur le côté me présentant ...
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