Je trompe ma femme avec sa meilleure amie (1)
Datte: 26/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Manouco1280, Source: Xstory
... sa poitrine et ses seins aux tétons maintenant dressés et rose bonbon. En tournant un peu la tête sans qu’elle me voie, elle semblait plongée dans son livre, je pouvais voir son pubis aux poils roux et luisants de sueur et je devinais son entrejambe d’où montait maintenant un parfum autrement plus troublant. Je n’avais pas encore senti cette odeur très épicée directement issue de son intimité, mais là, je ne pouvais pas me tromper, j’étais branché en direct avec l’odeur de sa chatte de rousse ! Elle a négligemment écarté un peu les cuisses comme pour se détendre, et non seulement j’ai pu voir son sexe et sa jolie fente rose, mais j’ai été frappé par une vague de parfum sexuel qui a failli me faire jouir !
Je mouillais abondamment, et je sentais mon jus couler doucement de mon sexe bandé sur le matelas. J’ai tourné la tête, et j’ai essayé de prendre une position plus confortable pour libérer ma queue et la laisser s’allonger contre mon ventre. Pas de chance, au moment où je me soulevais pour libérer mon sexe turgescent, elle baissa son livre et ses yeux se portèrent évidemment sur mon bas-ventre et sur ma queue dressée et luisante d’excitation. Je me rallongeais tout de suite, mais elle croisa mon regard et j’y lus à la fois du désir, de la gêne et un appel à aller plus loin. Plus loin sur la terrasse, cela aurait ressemblé à un viol devant témoin ! Ma femme n’était pas loin et ce n’était pas le moment !
Isabelle se leva, enveloppée de son seul parfum de femme rousse en ...
... chaleur, et annonça qu’elle allait faire la sieste au frais dans sa chambre. Son départ me permit de me calmer et à ma queue de reprendre une taille présentable. Dix minutes après, ce fut au tour de ma femme d’aller faire la sieste. Elle était nue aussi, et la vue de ses fesses adorées me fit à nouveau bander, je lui dis que je finissais un chapitre et que je la rejoignais. Je restais seul. J’attendais trente minutes et me levais pour aller rejoindre ma femme, j’avais encore les images d’Isabelle, et son odeur imprégnait encore ma libido, et je me disais que j’allais me défouler sur le joli cul de ma femme, sa chatte accueillante et ses jolis seins fermes et aux pointes comme des framboises. En passant devant la porte d’Isabelle qui était entrouverte, je vis donc ma copine allongée, nue et offerte...
Trente secondes d’hésitation, ma femme dormait comme tout le monde à cette heure, je décidais d’aller un peu plus loin et j’entrais dans la chambre d’Isabelle, en refermant doucement la porte. Elle était totalement offerte, la transpiration coulait doucement au creux de ses reins depuis ses épaules, elle avait les bras sous son oreiller et je voyais ses aisselles odorantes avec des perles de sueur; et le parfum qui émanait de tout son corps ajouté à l’image impudique qu’elle m’offrait me fit à nouveau bander.
Je m’approchais doucement, me penchais et commençais à respirer sa peau sans la toucher en partant depuis son pied, remontant le long de son mollet, de sa cuisse pour ...