Échec et mat
Datte: 22/10/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
handicap,
plage,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... rempart de ma vertu.
— Non, pas touche : c’est à moi de le retirer, c’est mon trophée !
Mon slip tendu ne laisse que peu de doute sur mon état. Elle le baisse, et tel un diable sortant de sa boîte, mon sexe lui saute presque au visage.
— Elle est telle que je l’imaginais. Je fantasme dessus depuis que tu m’a passé la crème solaire sur le dos.
— Ah, parce que tu as vu ?
— Il est des choses qu’une femme remarque très vite.
Elle me flanque de grands coups de fauteuil dans les chevilles et me repousse vers sa chambre. Mes mollets butent sur le rebord du lit sur lequel je m’étale. Avec une agilité déconcertante, elle sort de son fauteuil, quitte son dernier sous-vêtement et me grimpe dessus.
J’ai juste le temps d’entrapercevoir une fine toison claire.
Elle embrasse mes mollets, mes cuisses, mon nombril, évitant soigneusement mon sexe. Elle joue avec mes nerfs. Elle dépose soudain quelques baisers sur mes testicules et prend en bouche ma hallebarde. Elle la fait coulisser entre ses lèvres ; sa langue caresse, cajole juste quelques instants trop courts me semble-t-il. Elle devine que je suis déjà au bord de l’explosion. Elle habille mon dard d’une pèlerine. Préméditation ?
Elle reprend sa reptation sur moi ; je sens ses seins sur ma tige, sur mon ventre. Sa toison douce et humide caresse mes cuisses et mes bourses. J’ai un jour entendu parler de délicieux supplices : j’en subis un en ce moment.
Je vois apparaître son visage souriant près du mien. Elle ...
... m’embrasse, vient chercher ma langue.
— Laisse-toi faire : je gère.
Je n’ai nullement l’intention de me dérober à ses caresses. Sa main glisse entre nos deux corps, attrape ma queue et la dirige vers sa caverne d’Ali Baba. Elle s’empale sur moi jusqu’à la garde. Elle respire un grand coup et pousse un râle de plaisir. Prenant appui sur mes épaules, elle se redresse et me regarde dans les yeux. Elle se mord les lèvres tandis que son ventre monte et descend lentement. Elle serre et desserre son fourreau autour de ma verge ; elle ne ferait pas mieux avec la main. Je ne sais comment elle garde l’équilibre. Que c’est bon !
Je ne reste pas inactif. Je caresse ses seins, son dos, ses hanches, là aussi où se terminent les cuisses et où commencent les fesses, là où la peau est si douce. Je donne de petits coups de reins. Je la sens frissonner sous mes doigts. Elle ferme les yeux et gémit quelques mots en russe. Elle s’affale sur mon torse tandis que moi aussi je me relâche et soupire d’aise.
Pendant de longues minutes ne résonnent dans la chambre que nos souffles rauques.
— Merci.
— Pourquoi ? C’est toi qui as fait tout le boulot ! plaisanté-je.
— Non, ce n’est pas à cause de ça… Merci de m’avoir fait sentir encore désirable.
— Mais tu es désirable : tu es une GMIDD.
— C’est quoi, ce truc ?
— Grande Maîtresse Internationale Diablement Désirable.
— Je ne connaissais pas ce classement.
— Tu es une très jolie femme, très belle ici, et là.
Je ponctue mes dires en lui ...