France Rurale (2)
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... demandait pas mal d’accouplements, vu leur âge. Il avait constaté le plaisir évident que j’y prenais.
Pour Pierre, la solution était toute trouvée. Il allait recueillir un jeune valet dans sa ferme, dernier fils de son copain de tranchées, geste qui était, plus qu’honorable de sa part. Evidemment, seule la famille savait que j’étais une véritable salope, toujours prête à me donner aux hommes, que mon rôle serait de satisfaire, en priorité, les besoins bouillants de Pierre et de ses fils. Jean et Michel avaient été informés par leur père de ma « fonction » principale dans leur demeure, leur laissant le choix d’en profiter ou non, en sachant qu’au moins, ils ne risquaient pas de me mettre enceinte, comme n’importe quelle donzelle qu’ils culbuteraient sur une botte de paille et qui saurait bien vite en profiter.
Finalement, j’étais heureux de cet accord entre mon père et Pierre, Jean m’avait montré la nuit d’avant, le plaisir que j’en avais retiré. La seule règle imposée, femelle à la maison disponible à tout moment pour les trois hommes, valet de ferme dès que je franchissais la porte de la demeure. J’en connaissais bien le travail, même si Pierre l’avait suffisamment allégé, pour me rendre libre à chaque instant, de reprendre mes fonctions... primaires.
Le dîner achevé, j’avais hâte de rejoindre le lit de Pierre, Thérèse faisant chambre à part depuis son aveu. Le café avalé, sous un clin d’œil complice de Jean et de son frère, j’ai suivi le « Maître » à l’étage, le ...
... maître de mon travail, mais surtout, celui qui allait, enfin, devenir le maître de mon corps. Thérèse m’avait montré où se situait la poire à lavement dans la salle de bain familiale.
— Tu as parlé ce matin avec Thérèse je crois, non ?
— Oui Pierre, elle a eu le courage de me confier le secret qui vous ronge tous les deux depuis des mois et jamais je n’en parlerai à quiconque.
— Tu sais pourquoi tu es là ? Si ça te choque et que tu refuses, tu pourras quand même rester à la ferme comme valet, ta chambre sera alors à l’extérieur de la maison.
Ma réponse a été de le pousser sur le lit, ôtant ses vêtements qui cachaient, à ma vue, ses trésors d’homme. Poils partout, même dans le dos, odeur de mâle paysan, corps divinement sculpté par les travaux des champs, avec un membre si puissant, qu’il dépassait allègrement son nombril velu, des couilles qui me semblaient débordantes de liqueur, je me suis dénudé en quelques secondes pour me jeter dans ses bras.
— Pardonne-moi Marc, mais je vais te défoncer. Je suis trop en manque, chaste depuis que je connais ta venue, je ne suis pas allé au bordel et j’ai horreur de me branler.
J’ai pris dans ma bouche sa virilité triomphante, pendant qu’il me caressait la fente, pour la préparer à recevoir en moi ce morceau digne d’un cheval. Elle avait été visitée à plusieurs reprises la veille par Jean et son ouverture fut assez aisée. Lui sur le dos, je me suis empalé sur ce pieu de chair dont le gland débordait, avec précaution quand ...