Ta femme mise à nu (partie I) - Histoires de Sexe

Ta femme mise à nu (partie I)

... un petit joint. À la question de ce qu’elle avait à offrir en échange, elle lui répondit d’une voix douce : « mon petit cul ».

Nous avons fumé puis elle s’est empressée d’honorer sa promesse. Elle s’est installée à quatre pattes sur le lit, moi devant, A. derrière. A. lui a lubrifié un peu l’anus avec son liquide vaginal et il a placé son gland à l’entrée de son petit trou. Ta douce me regardait avec des yeux immenses, droit dans les yeux, alors qu’A. lui enfonçait lentement son sexe entre les fesses. Aux premiers va-et-vient, ses paupières se sont closes, elle a mordu sa lèvre inférieure puis elle a rouvert les yeux en me fixant intensément du regard. À ses yeux brillants, à son sourire entrecoupé de petits miaulements, j’ai compris qu’elle aimait ça. Elle a saisi mon sexe, l’a branlé un peu et l’a repris en bouche. J’ai fermé les yeux. Ma tête s’emplissait des longs râles de ta chérie et de la divine sensation que me procuraient ses lèvres pressées tout contre mon sexe. Elle a ainsi empalé mon pieu dans sa bouche suivant la cadence de la pine qui pénétrait son petit trou.

Puis elle a voulu nous sentir tous les deux en elle. Elle s’est empalée sur mon sexe que j’ai fait aller et venir en elle. Je me suis arrêté pour laisser à A. le plaisir de se glisser de nouveau dans le dos de ta chérie afin de lui visser sa verge entre les fesses. J’entends encore le miaulement de ta belle lorsque ce deuxième sexe s’est enfoncé en elle. Son corps était moite, tremblant ...

... légèrement. A. a commencé de premiers va-et-vient au fond de son anus et le corps de ta chérie s’est mis à glisser entre mes cuisses, son sexe enserrant et desserrant le mien pour l’engloutir. Nous avons coordonné nos mouvements, d’abord lents puis plus assurés. Entre nos deux corps, elle soupirait de plaisir, son souffle se faisait de plus en plus saccadé. Nous avons progressivement accéléré la cadence et plus son corps tanguait d’un sexe à l’autre et plus elle miaulait. Ses cheveux tombant le long de mon visage, je regardais sa bouche se tordre, ses yeux rouler. Son corps vibrait entre les nôtres, tenter des convulsions que nos deux masses empêchaient. Son visage, son corps brûlaient sous l’étreinte. Elle se laissait aller entre nos corps et elle m’envoûtait par son désir et par sa bouche convulsée, par son corps en feu et par ses cris. J’enfonçai avec délice ma verge au plus profond d’elle. Alors ce fut une tempête de plaisir qui finit par la submerger. À chaque roulement de nos corps, elle criait de plaisir. Ses cris retentissaient, me hantaient, m’intimaient de continuer, de la pénétrer toujours en cadence et de plus en plus profondément. Une longue jouissance la saisit, aussitôt suivi de A. puis ce fut mon tour de déverser ma jouissance en elle.

Nous ne nous sommes pas revus tout de suite, ta belle, A. et moi. Nous l’avons revue avec toi, d’abord. En notre présence, elle était tantôt tendre avec toi, tantôt agressive, farouche, t’intimant des ordres et te rabaissant sous les ...