Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (6)
Datte: 18/10/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Solo92, Source: Xstory
... l’idée de nous finir dans les toilettes…
Je gagne à mon tour le couloir, heureusement désert. Tout au bout, je frappe à la porte, et confirme d’un « c’est moi ». La porte s’ouvre, et Maman, de nouveau à poil, m’accueille dans ce lieu-dit « d’aisance ». Elle a accroché sa robe à la patère. Elle s’accroupit, baisse mon bermuda, et reprend immédiatement en bouche ma queue, qui a perdu de sa superbe. Sa pipe magistrale me redonne rapidement une raideur digne de ce nom.
Ce n’est certes pas le final auquel j’ai rêvé, mais jouir en Maman reste bien le but principal. Elle me fait asseoir… sur la cuvette des WC (fermée), m’enjambe, et vient se planter sur ma bite. La saisissant aux hanches je la fais monter et descendre sur moi de plus en plus vite. Sa chatte claque contre moi, son abondante cyprine me coule dessus. Malgré le lieu, l’odeur forte et l’inconfort de l’endroit, Maman fait durer le plaisir. En me chevauchant parfois lentement, montant jusqu’à la limite de mon gland, puis s’empalant jusqu’à mes couilles, parfois à une cadence effrénée. Elle choisit elle-même l’instant de son orgasme, ne se retenant pas pour crier cette fois, un cri heureusement atténué par le vacarme du train. Je la rejoins très vite dans l’extase, et me libère dans son con en de puissantes giclées.
Comme un lavabo était présent, je pensais que nous allions procéder à une toilette sommaire, mais Maman, décidément très salope cette nuit-là, s’y oppose.
— Non, je veux que nous gardions sur nous ...
... nos sueurs, nos salives, ton sperme et ma mouille ! Contentons-nous de nous rhabiller.
— À vos ordres, Mère ! fais-je en riant.
Puis, Maman va faire quelque chose d’inhabituel, qui me va fort me troubler.
— Tiens, je vais profiter que nous sommes ici.
Elle ouvre la cuvette, s’assied sur la lunette, écarte les cuisses, et… se met à faire pipi, ne se cachant aucunement de moi ! Je reste fasciné par le jet dru qui sort longuement de son sexe. S’en apercevant, elle me gronde en riant :
— ça te plait, hein ? Petit cochon !
En cette occasion, j’estime que c’est plutôt elle la cochonne. Sa miction achevée, elle prend du papier, et s’essuie tranquillement la foufoune. Elle s’amuse visiblement de ma mine ébahie.
Prestement rhabillés, nous sortons du réduit. À mon grand soulagement, le couloir est toujours désert. Rapidement nous retrouvons notre compartiment, et gagnons nos couchettes respectives. Nous entendons alors la femme de la couchette du bas s’exclamer :
— Bon ça y est ? On va pouvoir dormir, oui ?
En riant sous cape, nous allons finir par nous endormir.
Tout le monde s’éveille au petit matin, peu avant l’arrivée à Paris. La femme nous fusille du regard, sans doute parce que nos allées et venues l’ont réveillée. En revanche, le jeune homme nous regarde tour à tour, Valérie et moi, un étrange sourire sur les lèvres. Nous a-t-il vus ? Entendus ? Ou bien a-t-il seulement deviné que nous avons fait des choses « que la morale réprouve », surtout entre ...