1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (6)


    Datte: 18/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Solo92, Source: Xstory

    Le lendemain, avec le retour du soleil, nous décidons de profiter de la plage. Maman, la coquine, marque très nettement sa préférence pour la petite plage naturiste…
    
    Nous revoici très vite tous deux à poil sur nos serviettes, posées sur un lit de sable chaud. Maman choisit de nouveau le petit recoin parsemé de rochers, derrière lesquels nous sommes partiellement cachés. Je me doute qu’elle prépare quelque chose… L’autre fois, nous n’avons fait que nous y masturber simultanément. Là, d’emblée, Maman me taille une pipe d’enfer, me conseillant seulement de scruter régulièrement les alentours pour voir si personne ne nous observe.
    
    Je dois admettre qu’avec une pointe de perversité, j’aimerais que quelqu’un suive nos actes… Mais c’est aussi prendre le risque de nous faire expulser de la plage. Ce risque ne me paraissant toutefois pas bien grand, guère plus d’une dizaine de personnes paressent sur le sable.
    
    Maman s’assied à califourchon sur moi, et s’enfile elle-même jusqu’à la garde. Vu sa position, c’est elle à présent qui tourne la tête de droite et de gauche, jouant les guetteuses. Elle me refait sa délicieuse petite spécialité : une « branlette vaginale ». Elle roule du bassin sur moi, autour de ma bite, les mains sur les hanches, un petit sourire dominateur sur les lèvres.
    
    Nous finissons par oublier tout ce qui nous entoure pour nous concentrer sur nous deux, rien que nous deux. Je plaque mes mains sur les bonnes fesses de Maman, et rythme moi-même ses montées et ...
    ... descentes sur ma bite. Puis je la prends un peu en levrette, pour son plaisir. Et ensuite à la missionnaire, peut-être la position la plus banale, mais qui est déjà à l’époque (et est toujours à l’heure actuelle) ma favorite. Tandis que je la besogne avec ardeur, elle émet un souhait bien agréable :
    
    — Sors de ma chatte, et viens reprendre mes fesses. Je veux que tu m’encules à nouveau.
    
    — Tu es sûre ? Tu as eu mal hier.
    
    — Oui mais plus tu me prendras souvent par là, plus je m’y habituerai, et, logiquement, moins je souffrirai !...
    
    — Mais je n’ai pas plus de lubrifiant qu’hier !
    
    — Celui-ci me convenait. Ta queue est déjà enduite de ma mouille, occupe-toi un peu de mon petit trou, et ça devrait faire l’affaire !...
    
    Je la traite en riant de « vilaine fille », tandis qu’elle se couche sur le ventre. J’embrasse ses fesses, bien dodues sans être grosses. Puis les empaume et les malaxe. Pour finir par les écarter au maximum, dégageant bien sa raie, objet de ma convoitise. Sans une once d’hésitation, je ventouse de suite son anus, le lèche, y enfonce ma langue avec gourmandise. Au contraire de le trouver sale, j’estime justement que cet acte constitue une preuve d’amour total. Il faut vraiment aimer quelqu’un pour en arriver à lui lécher le trou du cul ! Et Maman est bien la seule, l’unique personne que j’aime.
    
    Avec ce traitement de choix, la petite rosette s’ouvre un peu.
    
    — Je crois que tu es prête.
    
    — Enfin ! Vas-y mon fils, mais fais doucement, je n’en suis ...
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