Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (6)
Datte: 18/10/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Solo92, Source: Xstory
... sous-vêtements, ça nous fera ça de moins à retirer.
J’opte pour un bermuda, un t-shirt, des tongs. Maman enfile exclusivement une très courte robe à fleurs et une paire de tennis.
Comme des collégiens, nous rions à l’avance des bêtises que nous envisageons de faire. Pour tout dire, je suis à la fois excité par cette perspective, et un peu inquiet aussi, pas question de nous faire surprendre. Et puis nos ébats seront forcément restreints. Mais, soyons fous !
En gare de Biarritz, nous montons dans notre train. Outre nous deux, notre compartiment comprend un couple de quinquagénaires, et deux hommes seuls dont un jeune, plutôt beau mec. Maman et moi occupons les deux couchettes supérieures, ce détail va avoir son importance. Afin de préparer sa couchette, Maman se juche sur la petite échelle. Du coin de l’œil, je constate de suite que le beau jeune homme lorgne ses superbes cuisses, et probablement beaucoup plus, vu la « longueur » de la robe… S’aperçoit-il qu’elle ne porte pas de culotte ? Je ne l’affirmerai pas, mais il va garder un bon moment un très léger sourire sur le visage. En me parlant, Maman me donne à tour de bras du « mon fils », à mon avis pour que les autres passagers comprennent bien notre situation familiale, et soient à mille lieues de se douter de ce qui va suivre… C’est assez pervers de la part de Maman, mais cela décuple mon excitation. Je jubile intérieurement : « oui Messieurs-dames, des actes incestueux vont se dérouler en votre présence ! » Je ...
... gagne à mon tour ma couchette.
Le train s’ébranle, et une fois tout le monde couché l’obscurité se fait dans le compartiment. Pas totale, subsiste la faible lueur d’une petite veilleuse au plafond.
Avec impatience, il nous faut attendre que tout le monde soit endormi, ou supposé tel. S’agissant de l’homme au-dessous de moi pas de problème, vu qu’il se met de suite à ronfler horriblement…
Après un temps que nous jugeons suffisant, nous allons enfin débuter nos actes « honteux ». Grâce à la faible lumière diffusée par la veilleuse, j’aperçois Maman se déchaussant, puis retroussant sa petite robe jusqu’à la taille. Sa main droite disparaît immédiatement dans la fourche de ses cuisses. Pour ma part, bermuda baissé, je commence à me masturber. Nos têtes se tournent l’une vers l’autre. Certes, il est sympa de se regarder mutuellement en train de se branler, mais il va sans dire que cela nous apparaît bien vite insuffisant. Maman prend alors tous les risques. Elle rajuste sa robe, descend le plus discrètement possible sa petite échelle… pour escalader ensuite la mienne, et me retrouver sur ma couchette. Le lieu est plus qu’inconfortable. De tout son long Maman se couche sur moi, son dos touchant presque le plafond de la cabine. Nous commençons par nous embrasser amoureusement. Maman procède à d’incroyables contorsions pour se débarrasser de sa robe. Je ne lui en aurais pas voulu si elle l’avait gardée, car le risque devient infiniment plus grand dans le cas ou quelqu’un, ...