1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (6)


    Datte: 18/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Solo92, Source: Xstory

    ... qu’à ma deuxième sodomie !...
    
    Je ne vais pas jusqu’à dire que je rentre « comme dans du beurre », mais cette nouvelle intromission va s’avérer beaucoup plus aisée que celle de la veille. Mon seul petit regret, Maman s’est placée à quatre pattes pour me recevoir, en levrette donc. Mais je ne vais tout de même pas me montrer difficile… La saisissant par sa taille fine, je rame alors dans son cul. Cette fois, pas de larme, Maman émettant en continu de petits soupirs lascifs. Comme nous sommes bien, sur cette plage, à faire l’amour comme des fous ! Je me déchaîne en Maman, l’enculant presque brutalement à présent. Durant nos baises, au gré de ses envies, Maman se fait tantôt tendre, sentimentale, tantôt lubrique dans ses propos. Ce sera le cas cette fois-là.
    
    — Ah Fabien, que c’est bon ta queue dans mon cul, cette fois je n’ai pas mal, c’est bon, vas-y, encore et encore et encore, encule ta salope !
    
    Même s’il peut être excitant, ce mot ne me plait pas dans sa bouche.
    
    — Je suis super bien dans ton cul, mais je n’aime pas que te traites de salope, tu n’en es pas une.
    
    — Je n’ai pas dit que j’étais une salope, mais TA salope, c’est tout différent !
    
    — OK, je préfère ça. Alors oui et oui, je suis trop bien en toi, MA belle salope !...
    
    Nos actes et cet échange salace me font venir très vite et je balance une cascade de semence dans les fesses de Maman… qui me reproche de n’avoir tenu que trop peu de temps.
    
    À mon tour de lui dire, avec malice :
    
    — Je ferai ...
    ... mieux… la prochaine fois.
    
    — J’espère bien ! Et tu la prévois pour quand, cette prochaine fois ?
    
    — Oh, dans très longtemps, dans une heure tout au plus !
    
    De concert, nous éclatons de rire.
    
    Et je vais tenir ma promesse.
    
    __________
    
    Amours ferroviaires
    
    Cette semaine de vacances au Pays Basque a passé vite, trop vite. Mais elle a été bien « remplie »… dans tous les sens du terme. Maman et moi allons encore faire l’amour dans le studio, une heure avant de rendre les clés…
    
    Pour nos déplacements, nous avions loué une voiture sur place. Mais les allers-retours Paris-Biarritz se faisaient en train. En 1977, le TGV n’existait pas, mais de bons vieux trains de nuit circulaient, avec des compartiments à 6 couchettes.
    
    Juste avant de quitter notre lieu de villégiature, avec un brin de nostalgie, Maman me dit tristement :
    
    — Finies nos folies sur la plage !... Elles vont me manquer. (Car le samedi nous y avons recommencé nos galipettes).
    
    Je lui réponds sur le ton de la plaisanterie :
    
    — Pas besoin de se trouver sur une plage pour faire des folies, on peut en faire n’importe où !
    
    — Ah oui, et où ça ? Cite-moi des lieux !
    
    — Je ne sais pas moi, tiens, en train par exemple !
    
    — Chiche !...
    
    Mince, me voilà pris à mon propre piège… Mais je décide de relever le défi.
    
    — Va pour le train, cette nuit. Mais je ne vois pas trop comment, nous ne serons sûrement pas seuls dans le compartiment.
    
    — T’inquiète, j’ai ma petite idée. Déjà, ne mettons pas de ...
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