Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (4)
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: l'estello, Source: Xstory
... sont à présent tout proches de mon petit trou.
Et c’est bien cela qu’il cherchait. Très vite, un doigt se met à tourner autour, décrivant des cercles de plus en plus petits, jusqu’à venir « en plein dans le mille » et titiller cet orifice quasi jamais exploré. Une salve de mouille se répand dans le mince tissu strié qui recouvre mon minou. L’idée de me faire prendre par-derrière me terrorise, une peur irrationnelle d’avoir très mal, et en même temps l’imaginer m’excite diablement. Et c’est plutôt l’excitation que le langage non verbal de mon corps a dû exprimer, car Jordan accentue ses caresses sur mon étoile, il cherche à forcer légèrement l’entrée, il s’en éloigne, puis y revient. Il lâche ma tête et sa queue toujours plantée dans ma bouche, il se penche vers mon cul. Sa main gauche écarte mes fesses le plus largement possible; sa main droite, je suppose qu’il la porte à sa bouche, car ses doigts reviennent sur mon petit trou dégoulinant de salive.
Je sens mon anus se détendre, les tissus se relâchent un peu, j’essaye de contrôler ma contraction pour me relâcher au maximum.
Sa main droite, l’inquisitrice, est à double emploi. Ses doigts repoussent mon autre fesse le plus à l’extérieur de sorte que d’un côté comme de l’autre, je me retrouve totalement ouverte et offerte. Son majeur humide plonge alors en piquet vers mon anus et se faufile entre mes dernières fibres de tissu résistantes. Une phalange entière est à présent en moi et la douleur est très largement ...
... maîtrisable, au contraire de mon excitation grandissante. Son doigt danse en moi, tourne, plonge, ressort. Millimètres après millimètres, mes sphincters s’habituent, et s’accommodent de la présence de ce doigt curieux. J’ai envie de lui dire, de lui demander de...m’enculer. Mais je suis trop honteuse, je ne m’en sens pas le courage. Et pourtant je suis là à me faire triturer le derrière avec en prime un sexe énorme que je pompe avec application. Qu’est-ce qui pourrait me faire plus honte ? Néanmoins, le feu en moi est trop intense.
Mes deux mains agrippées à sa bite que j’embrasse, j’ose parler : « Prends-moi Jordan, prends-moi, j’en peux plus... ».
Moi, la coincée, la timide, la frigide...j’ai le cran de lui demander de me prendre ! Alors oui bien sûr j’aurais voulu lui demander de me sodomiser, mais je n’ai pas pu. Mais pour l’heure, tout ce qui compte est qu’il vienne en moi, me prenne avec fougue. Je veux le sentir bander en moi, râler, rugir, cogner et jouir.
— Je vais te baiser maman, je vais te baiser comme une chienne.
Jordan se lève et me tire par le bras pour que je me lève aussi. Face à lui, dans l’attente, il dégage une telle puissance et une telle énergie sexuelle que je ne peux que me soumettre à tout ce qu’il voudra. De ses deux mains, il craque les côtés du string qui n’est plus qu’un malheureux lambeau qui tombe à mes pieds. Il me prend par les hanches, puis sous les fesses, et déployant sa force, il me soulève du sol. Mes jambes s’enroulent autour de ...