1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (4)


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... m’invite à venir m’asseoir sur lui. En faisant les quelques pas qui me séparent de lui, je retire mon soutif devenu inutile et je m’apprête à également enlever le string. « Non, garde-le, tu m’excites comme cela ». Comme il voudra, je m’approche de ses genoux que j’enjambe à présent pour m’asseoir sur ses cuisses, son sexe encore raide placé entre les miennes.
    
    — Tu avais envie de te frotter, alors vas-y, frotte-toi.
    
    J’entame alors une déambulation sensuelle, assise au-dessus de lui, son gland servant d’axe de rotation pour mon minou trempé. De mes lèvres à mon clitoris, de mon clitoris à mes lèvres, toute ma vulve s’adonne à cette masturbation sur membre. Je gémis sans retenue en activant mes hanches, soutenues par les mains du jeune amant, impassible, immobile, mais la queue dure, et à cet instant de plaisir égoïste, que sa queue soit dure est tout ce qui m’importe.
    
    — Tu aimes ça, te frotter comme une chienne ? Hein ? En fait, c’est ce que tu es, une grosse chienne. Une petite salope de maman qui a besoin d’une bite dure pour se frotter...
    
    Ses propos m’excitent, mais j’en ai honte aussi. Je réfugie ma tête dans son cou pour ne pas avoir à soutenir son regard, et je continue ma danse autour de son sceptre. Il continue ses élucubrations. Des « salopes » et des « chiennes » en veux-tu, en voilà. Je l’entends, mais je ne l’écoute plus. J’ai autant envie de le gifler que d’activer encore plus ma masturbation sur son sexe. Je choisis la deuxième option et je me frotte ...
    ... plus fort, plus vite, plus loin. Une alternance de gémissements et de cris s’échappe de ma gorge sans que je puisse les contrôler. Je sens un feu intérieur me brûler, une vague de plaisir me submerger jusqu’au choc électrique qui me désarticule comme une poupée de chiffon. Je m’écroule dans le canapé, couchée sur mon épaule, les fesses tournées vers la pièce. Je ne me préoccupe pas de Jordan, je ne pense qu’à moi, à ces émotions, et sensations dingues qui m’ont envahi; passez-moi l’expression, mais quel putain de lâcher-prise !
    
    Jordan pose sa main sur ma hanche, je frissonne, ma peau est hypersensible.
    
    J’ai envie de lui crier « Dégage !! », mais je suis bien trop à l’ouest pour le faire. Prostrée, les yeux clos, je l’entends se lever et disparaître. Des bruits de placards que l’on ouvre, du verre qui s’entrechoque, et Jordan revient près de moi.
    
    — Tiens, bois ça Maman.
    
    Je me redresse péniblement, il me tend un verre et s’assoit près de moi avec un autre verre à la main.
    
    — Je n’ai pas l’habitude de boire Jordan.
    
    — Non, mais aujourd’hui c’est la fête.
    
    — Ah bon ? Et que fêtons-nous ?
    
    — L’égalité ! Hier, je me suis servi de toi pour jouir, aujourd’hui c’est toi. On est à égalité, balle au centre.
    
    Je ne trouve rien à lui répondre, sa répartie m’étonnera toujours. Il insiste pour trinquer et je trempe donc mes lèvres, que je retire aussitôt. C’est fort, cela brûle et cela pue. Jordan s’empare de mon verre et le dépose au pied du canapé avec le sien. Son ...
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