L'autoroute du plaisir
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Laurencec, Source: Hds
... je peux vous dire que sur certaines aires il s’en passe ! Malgré la surtension qui m’animait, je n’osais franchir le pas et par deux fois je me contentais de m’exposer un peu me penchant, impudique dans la voiture offrant ainsi une jolie vue sur mes fesses aux véhicules quittant l’aire. J’ai joué ainsi tout le long de la route prenant des pauses répétées quasiment à chaque aire de repos tant et si bien que vers vingt heures, la nuit s’installait doucement. Plus embêtant pour s'exhiber, vous en conviendrez mais l’obscurité créait à elle seule une nouvelle ambiance, un autre sentiment peut-être encore plus fort.
Je roulais tout en me disant que maintenant la vision était réduite, l’excitation, elle, était intacte ! Je ne pouvais me résoudre à rentrer sans me faire plaisir et évacuer cette pression que je sentais bien présente en moi. J’en étais même à quasiment regretter de ne pas avoir osé me rendre dans les sanitaires sur l’une des deux aires passées ! Évidement, plus j’avançais, plus la nuit tombait, je songeais aux solutions qu'il me restait pour calmer ce feu continu, me trouver un coin en retrait et me caresser, m’offrir un moment en solo jusqu’à explosion des sens. Sur une aire de repos, cela doit avoir une saveur particulière, j’imaginais même, pourquoi pas l’arrivée d’un brave homme pour m aider dans ma besogne.
L'aire suivante, enfin la grande. Restera à jamais gravée dans ma mémoire ! L’aire du Plateau pour ne pas le citer ! Comme bien souvent, le parking ...
... auto en épis devant le local sanitaires. Je me garai sur les dernières places à une soixantaine de mètres de là. J’épiais quelques minutes les allers venues aux sanitaires. A ma gauche se trouvaient quelques arbres qui auraient pu m’abriter, la question s’est répétée sans relâche dans ma tête ! J y vais, j’y vais pas ? Allais-je encore passer à côté et regretter une fois de plus ? Une seule voiture était stationnée devant le local et à l’arrière de celui-ci je distinguais trois ou quatre semi remorques. Les fesses sur le capot en fumant ma cigarette je tremblais comme une feuille. Après quinze bonnes minutes pendant lesquelles, mis à part un chauffeur je n’ai vu personne, J’ai fini par me laisser guider par mes envies. J’ai passé ma veste de cuir et doucement me suis rendue jusqu'aux toilettes.
Le bruit de mes talons sur le macadam, cette odeur particulière, l’humidité, les lampadaires diffusant une lumière jaunâtre. J’étais terriblement chamboulée ! Le petit bâtiment gris avait une petite avancée métallique grise et vitrée, un espèce de hall ouvert. Timidement j’entrai côté femmes le cœur à cent à l’heure. L’endroit était vide, un petit couloir donnant sur un grand lavabo surplombé d’un miroir et quelques portes donnant forcément chacune sur un toilette. J’étais surprise de la propreté de l’endroit. Je ressortais quelque peu rassurée et surtout moins farouche.
Si la nuit était tombée, il faisait encore bon. Mise en confiance, j’enlevais ma longue veste et regagnais ma ...