Destination NP
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
train,
intermast,
pénétratio,
fantastiqu,
initfh,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... recouvrir avec la couverture.
Elle ouvrit brièvement les yeux, se pelotonna contre lui, emprisonnant son bras entre les siens. La main droite de Georgess coincée entre leurs corps, fut plaquée au centre de la féminité de la jeune femme. Le ventre frémissait sous son poignet au rythme de la respiration. Des poils follets, dépassant de la culotte, chatouillaient sa paume. La pulpe de ses doigts effleurait involontairement le renflement des lèvres.
Georgess essayait de se contenir. Elle s’était placée sous sa protection. Il ne devait pas abuser de sa faiblesse. Il ne contrôlait pas cette érection violente et subite. Il devait se calmer, se rendormir. La chair découverte de son sein contre son bras. Seins lourds qui contrastaient avec le corps gracile de l’inconnue. S’il avait couché avec un certain nombre de prostituées, nulle femme n’avait jamais dormi dans ses bras. Celle-ci, s’abandonnant en toute confiance, lui procurait une émotion jamais éprouvée. Lui qui baisait une fois par mois pour des raisons hygiéniques, sans besoin véritable, ni passion, n’avait jamais éprouvé une telle excitation.
Le train redémarra. Les vibrations du convoi se propagèrent à leurs corps, jusqu’à sa main. Sans qu’il en ait réellement conscience, elle bougea, entama une timide caresse qu’il réprima vite. La femme se colla encore plus à lui, semblant quémander. Il ne tiendrait pas. Éloigner sa main, il devait éloigner sa main. Il dégagea son bras avec une certaine brusquerie et le passa ...
... derrière la tête de la jeune femme. Loin de s’écarter, celle-ci agrippa, de ses longs doigts fins, la hanche de Georgess.
Rétrospectivement, il eut peur. Peur qu’elle se réveille, peur qu’elle crie au viol. Quelques minutes auparavant, il la vouait aux gémonies. Maintenant, il craignait qu’elle se sente agressée. Il devait se conduire en honnête homme. Il devait dormir. Des images de plus en plus précises habitaient son esprit. La main de la femme, remontée de sa poitrine à son épaule, se coulait entre sa peau et la bretelle de son maillot de corps. Une jambe gainée de nylon s’était insinuée entre les siennes. Le pubis, aux poils en bataille, à peine protégé par la mince culotte, frottait contre le haut de son pantalon tandis que la partie dénudée de la cuisse pressait son propre pénis bandé.
Les secousses du train inventaient des caresses auxquelles la jeune femme ne restait pas insensible. Ces attouchements qui avaient éveillé sa libido devenaient insuffisants. Son bassin remuait imperceptiblement à la recherche d’un contact plus étroit avec la rêche étoffe du pantalon. Georgess percevait la tension croissante des seins contre son bras. Il devinait les tétons qui s’érigeaient à travers le soutien-gorge.
Georgess libéra sa main qu’il avait maintenue jusque-là à plat sur la couchette. Il la posa avec précaution au bas du dos, sur la chair nue. Pas de réaction de rejet. Au contraire, creusement des reins, poussée accrue du mont de Vénus. Il n’avait plus du tout sommeil. Il ...