Destination NP
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
train,
intermast,
pénétratio,
fantastiqu,
initfh,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... mais il planait sur son petit nuage. Rien ne pouvait l’atteindre. Il savait qu’il recommencerait autant de fois qu’il le faudrait pour qu’elle en souffre le moins possible. Progressivement, il sentit la nuque de l’inconnue se dénouer, ses muscles se relâcher. Elle soupira. Son bassin, totalement figé jusque-là, commença à onduler. Il approfondit doucement la pénétration. À chaque tour, il s’aventurait un peu plus loin, attentif à la moindre contraction, au moindre recul du corps aimé. Tout à coup, toute résistance cessa ; sous les douces poussées répétées, la fine membrane virginale avait cédé. Il s’enfonça jusqu’à la garde, les couilles battant contre les fesses.
Un cri étouffé fut l’unique manifestation de souffrance. Presqu’immédiatement, leurs bouches s’étaient retrouvées. Il voulut se retirer pour qu’elle ait le temps de souffler mais ses mains l’en empêchèrent. Déjà, ses hanches bougeaient, oscillaient. Son vagin coulissait sur le pénis. Georgess, déchargé de sa mission d’initiateur, se laissa gagner par l’excitation. Lui aussi se mit en mouvement. Leurs va-et-vient allèrent crescendo. À ce rythme-là, la jouissance se rapprochait dangereusement. Ça montait, montait, montait. Brutalement, il se retira.
— Non pas comme ça ! j’veux pas.
Elle le regarda, éberluée. Coupant court à tout commentaire, il l’embrassa puis, avec de gestes tendres, il la fit se placer sur le côté, en chien de fusil. Il se colla à elle. Précautionneusement, il la pénétra de ...
... nouveau.
Pourrait-il lui expliquer ? Soudain, il s’était retrouvé au bordel d’État dans sa position habituelle. L’espace d’une seconde, tout désir avait disparu. Il ne pouvait l’aimer comme ça !
Il allait et venait de nouveau en elle, cajolant d’une main ses seins, l’autre fourrageant dans sa toison à la recherche de son bourgeon. Ses mains entraient dans la danse, rejoignaient celles de son amant. Leurs doigts entrelacés jouaient avec ses tétons, avec son clitoris.
Elle jetait ses fesses vers l’arrière pour qu’il s’enfonce plus profondément en elle. Elle repartait vers l’avant pour mieux percevoir la pression des doigts sur son bouton. Ses gémissements avaient repris. Ses halètements couvraient ceux de la locomotive. La couchette craquait dangereusement. Ils n’en avaient cure. Georges larguait les amarres. Il l’avait empoignée par les hanches et la besognait furieusement.
Il lui avait abandonné le soin de se caresser. Ce dont elle ne se privait pas. Sa main droite pétrissait ses seins, pinçait ses mamelons. Sa main gauche s’acharnait sur son clitoris. Le train aurait pu dérailler, ils ne s’en seraient pas aperçus. Ils étaient trop loin, trop haut.
Un grand soupir. Un dernier feulement plus affirmé. Soudain, elle ne fut plus que mollesse, inerte dans les bras de Georges. Toute énergie semblait l’avoir désertée. Lui, dans la dernière ligne droite, ne se rendit compte de rien. Trois ou quatre allers et retours plus tard, il jouissait, mélangeant son foutre à la cyprine de sa ...