Deux paires de deux
Datte: 15/10/2019,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... si galamment ! Non, il n’a pas mis sa grosse queue dans mon petit vagin ! Non, il ne m’a pas tronchée ! Non, il n’a pas éjaculé en moi ! Non, il ne m’a pas remplie de sperme jusqu’à ce que je déborde !
Je l’ai dit avec une telle hargne, une telle conviction, mélangée d’une grande lassitude envers ce crétin qui me pourrit la vie depuis si longtemps, qu’Anton se radoucit. Avec un sourire narquois, il s’adresse à nouveau à Sylvain :
— Tu as été gentleman jusqu’au bout ?
— Oui, nous avons causé de diverses choses après ton départ.
— Tu pouvais la troncher mais t’as préféré faire la causette ? T’es ouf dans ton genre !
Aussitôt, Sylvain lui agrippe le col :
— Tu sais que tu peux être vexant ? Nous avons causé hier soir, et la conclusion est que tu n’as plus ta vie avec Floriane.
— Comment ça ! ? C’est ma copine !
— Ton ex-copine ! Et des copines, tu en as des autres, il me semble !
— Tu déconnes ! Eh, c’est pas vrai, Floriane, j’ai pas d’autres copines !
J’interviens, un peu lasse :
— Ne te foule pas, je suis au courant depuis des mois. Valérie, Marie et Béatrice, pour ne citer qu’elles. Ces derniers temps, c’était plutôt chez Valérie que tu aimais faire la sieste. N’est-ce pas ?
— Ah… Tu… Je…
— Je me demande pourquoi je restais avec toi. Bon, on arrête là, stop. La goutte d’eau, c’est quand tu m’as vendue au poker, sans même me demander si j’étais OK. Tes copines se feront un plaisir de t’accueillir. Et tu me rends mes clés, car je n’aime pas trop qu’on ...
... se serve de mon lit quand je suis au boulot !
— Tu déconnes ! J’ai jamais…
— Écoute : c’est très bien de mettre des capotes, mais on ne les laisse pas traîner au sol, on les met à la poubelle ou éventuellement dans la cuvette des w.c. !
Là, les deux hommes me regardent assez étonnés. Oui, j’ai oublié de raconter ce détail hier soir à Sylvain. Je continue :
— Idem pour tes poufs de passage : on ne laisse pas traîner son string dans le lit.
— Un string ? Mais c’était le tien !
— Je ne fais pas du 36, désolée !
Je secoue la tête, je me sens lasse, je m’adresse aux deux hommes, d’abord à mon ex-copain :
— Je vais dans la chambre, je te refile tes affaires. S’il manque des trucs, tu les auras plus tard. En attendant, Sylvain, je te fais confiance.
— Merci, Floriane…
Je ferme la porte derrière moi. J’entends des éclats de voix tandis que je jette dans un carton les affaires d’Anton. Il y en a peu, il mettait presque toujours les mêmes habits. Même pas propre, rien pour lui, pourquoi je me suis encombrée de ce type si longtemps ? J’ouvre la porte, je fais glisser le carton hors de la chambre. Les deux hommes me regardent rentrer à nouveau dans la chambre, voûtée. Déprimée, je m’assieds sur le rebord du lit. Je n’ai même pas envie de pleurer. Le temps passe. On toque à la porte.
— Tu es visible ?
— Oui… Et Anton ?
— Il est parti avec son carton. Et j’ai tes clés.
Il entre puis s’agenouille face à moi. Je lui demande :
— Pourquoi tu as joué sur les mots ? ...