Deux paires de deux
Datte: 15/10/2019,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
Comme trop souvent, ce vendredi soir, mon petit ami organise chez nous une partie de poker. Enfin, chez nous, c’est vite dit, car c’est bien moi qui paye le loyer, l’eau, l’électricité et les impôts locaux, sans parler du remplissage du frigo !
Comme d’habitude, Anton (mon petit ami) m’utilise à la fois pour que je serve d’hôtesse et aussi pour que je distraie l’attention des autres joueurs par mes diverses tenues ! Actuellement, je suis en short et chemisier assez déboutonné sur mon soutif. Point trop n’en faut ! Il n’exige pas de moi que je sois habillée en entraîneuse de bar ou en péripatéticienne (quoique…), mais il faut que je fasse au moins un peu rêver ou fantasmer le chaland. Au début, ça ne me disait trop rien. Maintenant, j’avoue que ça m’amuse un peu de faire saliver certains joueurs. Et quand Anton gagne, ce qui arrive souvent un peu grâce à moi, la nuit est très torride !
Je suis en train de servir les rafraîchissements, et vu la tête de mon copain, je ne pense pas que ce sera la fiesta ce soir, car visiblement, le nouveau joueur qu’il a invité joue les bulldozers en ratissant très souvent les mises. C’est tout juste si Anton me gratifie d’un grognement en guise de remerciement pour le verre que je viens de lui déposer. Je lève les yeux aux ciels et quand je les redescends, c’est pour croiser le regard amusé de ce joueur très méthodique et chanceux. Il faut reconnaître qu’il n’est pas trop mal, et j’aime sa façon de me regarder, pas le style baveux ni le ...
... loup dans les dessins animés. Oui, j’aime bien, même si je ne me l’explique pas trop bien…
C’est à présent le break, comme ils disent. Bref, la pause pour parler français. Assez énervé, Anton m’entraîne dans la cuisine :
— Floriane, il faut que tu fasses quelque chose ! me dit-il, très agité
— Comment ça, moi ? Mais c’est toi qui joues, non ! ?
— Rhaaa ! Fais pas semblant de ne pas comprendre !
— Tu veux quoi ? Précisément ?
Il me toise de la tête aux pieds :
— Bon, c’est bien gentil, ta tenue, mais ça doit être plus sexy ! Faut lui faire perdre un peu sa concentration, à ce Sylvain !
— Tu m’excuseras, mais avec mon short et mon chemisier déboutonné, je trouve que c’est déjà pas mal, non ?
— Eh bien, c’est pas assez, Floriane !
Sourcils froncés, je croise les bras :
— Juste une petite question, comme ça : ton gugusse, il ne serait pas un peu gay sur les bords ?
— Ah merde, j’y avais pas songé ! Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
— Tes copains, eux, ils zieutent sans problème mon décolleté, mes gambettes et mes fesses, mais pas ton Sylvain, ou si peu !
— Non, j’ai pas souvenir qu’il soit de ce bord-là… Je sais par Louis qui le connaît assez bien qu’il était l’année dernière avec une fille, mais ça s’est mal passé…
— Tu sais, Anton, ça s’est peut-être tellement mal passé qu’il a justement viré de bord !
— Non, je ne crois pas ! C’est un copain de Louis et tu connais la position de Louis sur les invertis, comme on dit dans le beau monde.
Je lève les ...