1. Justine à Paris (7)


    Datte: 15/10/2019, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... me déplace un peu pour pouvoir gober le gland que j’accueille dans ma bouche. La réaction ne se fait pas attendre : la verge prend aussitôt de l’ampleur et se raidit, prête à l’usage. J’aspire comme je peux, acceptant la moitié de la longue colonne de chair avant qu’elle ne bute contre ma luette. Puis je recule en léchant. Je recommence, gourmande, avec la même lenteur. Une voix endormie s’élève alors.
    
    — Tu es insatiable, décidément. Tu as envie de revenir sur la fuck machine ?
    
    — Non. Ou plutôt, j’en ai une ici qui me convient mieux. Regarde.
    
    Sans attendre, je me soulève et me place juste au-dessus de sa bite que je guide entre mes lèvres intimes. Je me frotte un instant contre le fût de chair, ronronnant presque de plaisir. Puis je m’empale d’un seul mouvement très ample, me retrouvant les fesses contre le pelvis du colosse. Putain qu’il est épais ! Il emplit ma cavité, distend mes pauvres muscles durement sollicités cette nuit. Mais je suis trempée, je ruisselle sur l’épieu qui me transperce.
    
    — Tu remues un peu ? rouspète Jonah. Là, c’est bien, doucement…
    
    Mes hanches montent et descendent, mon bassin oscille ; je tente de contracter mes muscles intimes, recevant pour ma peine une bonne claque sur une fesse. Ça marche !
    
    — Continue, tu es une diablesse. Tu trais ma bite avec ta chatte, c’est génial. ...
    ... J’avais bien vu que tu étais une petite cochonne, la première fois que je t’ai aperçue dans le métro. J’ai compris que tu serais à moi, Justine.
    
    — Et tu ne t’es pas demandé si je voudrais de toi ?
    
    — J’ai un tel charme magnétique que tu ne pouvais que tomber amoureuse de moi.
    
    — Beau et modeste, avec ça. Tout à fait ce que je cherchais.
    
    — Ouais. Allez, mets-toi à genoux, j’ai envie de défoncer ton petit cul. Tu en meurs d’envie, non ?
    
    — C’est vrai. Allez, beau gosse, montre-moi ce que tu sais vraiment faire avec ta bite. Et c’est pas le moment d’être tendre, je veux du brutal.
    
    — Tu sais parler à ton homme, toi. Je pense que je vais te garder.
    
    — Tu as intérêt, mec. Parce que je n’ai pas l’intention de partir de sitôt. Tant que tu assures, du moins.
    
    Je devine que je vais charger, mon géant noir est rechargé à bloc. Il va me fracasser le cul ; mais comme je n’attends que ça, tout est bien. Je me dis que je suis super bien tombée avec lui : il est beau, super bien membré (certaines diraient qu’il l’est un peu trop, mais nul n’est parfait), super vicieux aussi. Tout pour me plaire.
    
    Ceci, sans compter ses amis, qui semblent nombreux et toujours prêts à défoncer mes orifices. Et sa machine diabolique sur laquelle je reviendrai avec grand plaisir. Je sens que je ne vais pas m’ennuyer, j’ai trouvé une bonne maison. 
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