Justine à Paris (7)
Datte: 15/10/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... augmente. De manière insensible, les doubles coups de boutoir accélèrent, aidés par une lubrification continue des deux mandrins. Je halète, respirant difficilement par le nez ; ma peau se couvre de sueur et je gémis alors que le gode anal fouaille mon ventre sans délicatesse.
Je jouis soudain, contre toute attente. Mes orteils se tordent, je plante mes ongles au sang dans mes paumes et tremble dans mes liens. Et la machine continue inexorablement à démolir mes orifices vaincus sans marquer la moindre pause. J’ai bu en me douchant, j’urine sous moi en pleurnichant. Mon amant mécanique me fore toujours, accélérant parfois, ralentissant ensuite, mais sans jamais cesser son entreprise de démolition. Pantelante, je jouis à nouveau, dévastée par un orgasme soudain qui me laisse épuisée.
Je voudrais me blottir sous une couette et dormir. Mais les mandrins artificiels me taraudent sans fatigue et sans âme. Mes orifices n’offrent plus aucune résistance, je ne suis plus que deux trous larges et profonds, dévastés et emplis sans trêve et sans pitié. Je jouis et sanglote, épuisée à en crever. Et un nouvel orgasme me convulse, un autre encore...
Je suis dans un état second quand on me libère. Je suis délivrée des godes géants, mais je ne m’en rends même pas compte. Relevée, je ne tiens pas sur mes jambes ; des bras puissants me soutiennent pendant qu’on m’enlève la cagoule. Je recrache le bâillon avec plaisir, ma bouche est pâteuse. Jonah me fait boire un verre d’eau, il me ...
... dépose dans un lit, me couvre, je dors.
À mon réveil je suis désorientée ; je ne reconnais pas la pièce dans la pénombre. Par contre, je reconnais instantanément le corps contre lequel je suis blottie. Une odeur rassurante de mâle mêlée à des fragrances de musc, d’agrumes… Je m’étire, surprise de ne pas être endolorie de partout. Pourtant, après cette folle soirée, je devrais être complètement cassée. Je file satisfaire un besoin pressant, puis boire un grand verre d’eau. Je reviens ensuite dans la chambre où Jonah dort toujours comme un bienheureux, étalé sur le dos.
Il ronfle légèrement, la bouche entrouverte, main droite sur le front et bras gauche tendu à l’horizontale, paume vers le haut. En souriant, je retire doucement la couette, faisant apparaître son torse de barrique, ses abdos bien dessinés. Mon sourire se fige quand j’aperçois sa bite. Posée sur son abdomen, elle est presque au repos. Pourtant, bien que flaccide elle est déjà énorme. Je déglutis difficilement ; dire que hier soir Jonah m’a prise par tous les orifices avec ce mandrin !
Je me penche au-dessus et souffle doucement. La verge frémit légèrement, un tremblement la parcourt. Je recommence, me retenant de rire. Indéniablement, je produis de l’effet ; la bite gonfle et s’allonge lentement, une veine palpite sur son fût d’ébène. J’ose un léger coup de langue sur la hampe, un autre encore.
Dans la pénombre, j’aperçois les traces humides de salive sur la tendre peau de satin noir. N’y tenant plus, je ...