1. Justine à Paris (7)


    Datte: 15/10/2019, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Mon ventre devient vite brûlant et d’une moiteur extrême. Je serre les cuisses et gémis, résistant à l’envie d’empoigner mes seins turgescents et douloureux.
    
    — Ne touche pas à main nue, pas encore. Attends cinq minutes, que les principes actifs soient absorbés. Tu te sens bien ?
    
    — C’est terrible, j’ai envie de faire l’amour. De baiser.
    
    — T’en fais pas, Tu vas avoir ton compte, cette nuit. Suis-moi.
    
    Je suis surprise quand je comprends que Marco ne rejoint pas les autres dans le séjour ; il entre dans une minuscule pièce sans fenêtre et me montre un drôle de meuble, sorte de cheval d’arçon croisé avec un banc de musculation.
    
    — Ta fuck machine. Tu vas passer pas mal de temps avec elle. Regarde tes amants pour la nuit !
    
    Il désigne deux gigantesques godes en plastique noir fixé sur des vérins en acier, reliés à une machinerie complexe et faisant partie intégrante de la machine. Puis il me présente une épaisse cagoule de cuir noir, j’aperçois au niveau de la bouche un épais et long bâillon de caoutchouc.
    
    — Attachée serrée sur la machine, avec cette cagoule, tu pourras te concentrer sur les godes. Regarde, il y a même un embout lubrifiant pour ton petit confort. Qu’en penses-tu ?
    
    J’en pense que mon ventre est en feu et liquide, que j’ai besoin de me faire prendre d’urgence. Mais j’ai quand même peur de cette machine, les godes sont monstrueux et vont me déglinguer. Sans répondre, incapable de parler, je hoche la tête et m’approche de Marco. J’ouvre la ...
    ... bouche pour accepter le bâillon.
    
    Dix minutes. Il doit lui falloir dix minutes pour me placer la cagoule et m’immobiliser, couchée sur le ventre et les orifices offerts. Ce sont de nombreuses sangles Velcro que me bloquent sur le cheval d’arçon, je ne peux bouger que les doigts et les orteils tellement elles sont serrées. Chevilles, mollets, cuisses, taille, épaules, biceps, poignets, même ma tête est bloquée, tirée en arrière par des courroies. Je ne vois ni n’entends plus rien, ma bouche est distendue par le bâillon qui bute presque contre ma luette, un peu gênant.
    
    Puis j’oublie tout quand les deux pals s’enfoncent en moi, presque en même temps, distendant au-delà du possible mes voies encore douloureuses. Je proteste et essaie de me débattre sans succès. Je ne peux que gémir et pousser des cris de gorge quand le gode dans mon vagin bute tout au fond encore et encore, sur un rythme lent et avec la constance d’un métronome. Il force et fore mon sexe, sans violence mais avec détermination. L’oblige à accueillir chaque centimètre de son diamètre le plus éprouvant, puis de toute sa longueur, me laissant dilacérée et vaincue.
    
    Et l’autre gode ? Il travaille à une cadence différente, en mouvements très amples qui le font sortir complètement pour revenir lentement mais toujours plus profondément. Le pal est certes épais, mais il est souple et peut ainsi s’adapter à mes entrailles qu’il envahit toujours plus loin.
    
    Au fil du temps, la cadence des éprouvantes pénétrations ...
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