La violoniste Laura Torillo a disparu ! (1)
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... spectacle, ce n’était pas le coucher de soleil, mais Laura elle-même. Elle était nue, n’ayant gardé que les nu-pieds qu’il lui avait prêtés. Elle se retourna :
— Ah ! Vous voici, Manu. Une bonne douche, ça remet en forme, n’est-ce pas ?
Puis consciente de sa tenue :
— Il fait un peu chaud ici alors je suis allée sur le balcon. Et comme je n’ai vu personne, je me suis dit que je pouvais me mettre à l’aise... Cela ne vous gêne pas au moins ?
Si cela le gênait ? Quelle question ! De toute façon, il avait senti une certaine ironie. Laura le testait.
— Laura, vous ne savez à quel point vous êtes mignonne... surtout comme ça !
Laura se tourna vers lui, lui offrant la vue de ses seins fermes, de son petit ventre, de ses cuisses, de son sexe... Elle était entièrement épilée.
— Hum ! Je vous plais tant que ça ? Et je vous excite, sans doute, n’est-ce pas ?
Laura le regarda dans les yeux et, de nouveau, il fut troublé. Cette jeune femme devait être une ensorceleuse.
Puis elle reprit :
— Maintenant que nous n’avons rien à cacher, si l’on se tutoyait ? Nous ne sommes plus au commissariat et je suis l’invitée, non ?
Le calme du sergent n’était qu’apparent. Il se sentait « tout chose » comme disait Juanita.
— Bien sûr, Laura... tu es mon invitée.
Puis, un petit air coquin à la clé, il désigna l’extérieur, du menton :
— Tu n’as pas peur d’être vue ? On a beau se trouver au 7e étage, il peut y avoir des mateurs en embuscade.
Ces propos la ...
... firent rire :
— Tu sais, ça ne me dérange pas les mateurs. Après tout, tu as passé de bons moments à reluquer mes cuisses... c’est vrai que j’ai des belles cuisses ?
— Oh oui ! Et pas seulement les cuisses... tes seins... tes fesses... tout quoi !
Il s’enflammait. Il sentait Lauraprête. Ils étaient face à face. Laura abaissa son regard :
— Mais c’est que Monsieur bande, on dirait ! Je te fais tant d’effet que ça ?
Sous le tissu du peignoir de bain, la protubérance, bien visible, ne laissait aucun doute.
Laura avança sa main droite et la passa sur la bosse. Instantanément, sa queue se raidit un peu plus.
— Dis donc, tu m’as l’air bien pourvu, on dirait. Je peux voir ?
Mais, sans attendre sa réponse, elle défit la ceinture du peignoir et en écarta les pans.
Le sexe du sergent apparut, dressé, le gland décalotté, bref, triomphant.
— C’est ce que j’appelle une grosse queue. Hum...
Elle se passa la langue sur ses lèvres. Cette fille devait être unegourmande. Le rêve lui revint en mémoire : « Ce n’est pas une nympho, au moins ? Je n’ai aucune envie d’appeler le lieutenant Siffredo... ah, ça, non ! »
Il ôta son peignoir, se retrouvant nu, à son tour. Elle recula d’un pas pour l’observer :
— Tu n’es pas mal non plus ! Des muscles... Mais tu es poilu, hein ? Bon, pas trop quand même. Mais tu as un bel engin... tu sais t’en servir, j’espère !
Elle éclata de rire. Cette Laura se révélait finalement bien délicieuse. Elle se mit à le masturber ...