1. La violoniste Laura Torillo a disparu ! (1)


    Datte: 14/10/2019, Catégories: Hétéro Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... placée sous le lavabo et en retira une serviette éponge et un gant. Puis il lui désigna un gel sur une étagère de la cabine de douche.
    
    — Ah ! Mais il y a aussi un lave-linge ! Ce serait chic si vous acceptiez de laver les vêtements que je porte. Pour demain, j’aurais ainsi tout propre.
    
    Garcia se racla la gorge :
    
    — C’est que... je n’ai aucun vêtement féminin de rechange ici, à part ceux que nous avons achetés.
    
    Avec un brin de malice, Laura lui susurra :
    
    — Ce n’est pas grave. Je ferai avec... ou sans.
    
    Et elle disparut dans la salle de bain. Il entendit couler l’eau. Elle chantonnait, des airs d’opéra, lui semblait-il. En plus, elle prenait son temps. Au bout d’une bonne demi-heure, la porte s’ouvrit. Laura apparut. Garcia se pinça la cuisse. Il voulait être certain qu’il n’était pas en train de rêver. La petite douleur le persuada que non.
    
    Laura avait revêtu l’ensemble slip/soutien-gorge qu’il lui avait acheté ; elle ne portait rien d’autre. Le mini-slip lui dévoilait largement le ventre et à l’arrière il découvrait une partie des fesses, qu’elle avait fort belles. Le soutien-gorge tenait bien ses seins tout en en découvrant le dessus. Des seins assez gros, enfin pas trop, juste comme les appréciait Garcia. Elle n’était ni maigre, ni même mince, sans être dodue pour autant. Juste ce qu’il fallait d’adorables petites rondeurs : le corps féminin idéal, selon le sergent Garcia.
    
    — Ah ! Une bonne douche comme ça... j’en rêvais depuis un moment.
    
    Laura ...
    ... était radieuse. Puis, il vit son petit nez se froncer :
    
    — Dites-moi, sergent, vous avez bien un prénom, n’est-ce pas ? Vous savez que je m’appelle Laura. Et vous ?
    
    — Manuel, ou plus simplement Manu.
    
    — Manu, vous avez des sandales ou des mules ? C’est pour ne pas me salir les pieds.
    
    Il revint avec des nu-pieds, qu’elle enfila. Puis elle entra dans le séjour. Avec ses cheveux teints en blond et sa peau légèrement hâlée, elle était sublime. Maintenant, il la voyait de dos. Tout aussi sublime.
    
    En voyant qu’il la matait sous toutes les coutures, elle lui lança une pique :
    
    — Alors, Manu, jamais vu de plaignante en sous-vêtements ?
    
    — Oh que non ! Laura. Vous êtes bien la première.
    
    Le regard de Laura fut accroché par la petite horloge placée au-dessus du poste de télévision.
    
    — Déjà 19 h 10. Si vous preniez une douche, Manu ? Pour le dîner, on verra plus tard. J’ai aperçu des conserves dans un placard de la cuisine.
    
    Manu lui décocha un sourire auquel elle répondit. Une complicité s’installait entre eux. Puis, la laissant seule, il entra dans la salle de bain.
    
    Quand il en ressortit vingt minutes plus tard, simplement revêtu d’un peignoir de bain en tissu éponge, il ne la vit pas dans le séjour. Mais, remarquant que la porte-fenêtre donnant sur le balcon était ouverte, il s’approcha. Laura était là, accoudée à la rambarde. Elle semblait admirer le coucher de soleil. L’air ambiant était très doux, presque chaud. Garcia ne put s’empêcher de sourire : le ...
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