Accueil de déshérités 4
Datte: 11/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... que je te regarde ou que je te montre mon cul.
- Ton cul. Tes fesses sont magnifiques et fermes. Et ton cul devra recevoir les hommages de ma verge. Je te ferai découvrir le plaisir anal. Avec moi c’est du grand art, tu verras.
- Voici, je me pose sur ta pine, je l’avale, je rentre le tout. Mon vagin s’est adapté à tes dimensions formidables. Je bouge, reste bien tendu.
Dans le miroir de l’armoire à glace je réussis à voir la tête et les épaules de Lili, un peu de son dos et le dessus de sa croupe en mouvement. Les fesses montent et descendent. Je les aperçois au sommet de leur course avant chaque disparition. Le sommier accompagne de petits grincements chaque chute de l’arrière train féminin. Les grincements se rapprochent, la respiration de Lili s’accélère, Louis grogne de satisfaction de plus en plus souvent. Les fesses s’affolent, les plaintes se font plus violentes.
- Ah ! Non. Tu aurais pu m’avertir. Tu m’as craché ton sperme à l’intérieur. Louis tu m’avais promis de faire attention. Si j’avais su, tu aurais enfilé le préservatif. C’est dégoûtant, je suis remplie de foutre.
- Excuse-moi. Je fixai ton petit trou, tu t’es déchaînée, c’est devenu soudain si fort, j’ai été surpris moi-même par l’éjaculation. Pardon, tu es une amante si parfaite.
- Merci. Mais il faut que je coure sur le bidet. Lève-toi et rejoins-moi à la salle de bain.
Elle saute du lit et sort à pas rapides, une main sous son sexe pour ne pas souiller le parquet. Louis se relève ...
... péniblement, sort en grommelant :
- Putain de diablesse. Quel coup ! Bof, un bon jet de canule effacera mes traces.
Plus fort :
- Lili, où es-tu ?
- Tout droit et à gauche deuxième porte.
- Ça va. Ça sort ? Tu m’as dit que tu ne risquais rien en ce moment.
Je repousse de la lisière du lit les effets qui pourraient faire baisser ma femme ou son amant. L’eau coule. Ils reviennent, ramassent les vêtements.
- On se revoit demain.
- Ah! Non, Louis, tu m’as promis de te contenter d’une fois.
- C’était avant. Tu es tellement bonne. Quoi, tu n’as pas apprécié?
- Mais si, qu’est-ce que tu cherches. Tu es un homme de parole, donc tu te contentes de ce que tu as demandé et obtenu.
- Les circonstances ont changé : tu es seule, célibataire, libre, on pourrait se revoir régulièrement. Tu serais ma merveilleuse maîtresse. Il te faut un homme. Avec ton tempérament on ne peut pas vivre sans un bon mâle. Je suis là, profite de ma disponibilité.
- Je suis libérée par la volonté d’André pour un temps limité. Il reviendra.
- On pourrait très bien se rencontrer à l’hôtel une fois par semaine, pendant la pause de midi comme aujourd’hui, ton chéri n’y verrait goutte. Et toi tu serais doublement aimée.
- Ne parle pas tant. Prends ce chausse-pied et dépêche-toi.
- Alors tu es d’accord. Je savais bien que tu ne me résisterais pas. Donc demain, ici, même heure !
-Non, ce n’est pas possible, j’ai déjà un autre rendez-vous.
- Heuheu. Tu plaisantes. Ce n’est ...