1. Accueil de déshérités 4


    Datte: 11/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... ! La merveilleuse poitrine.
    
    Les gros panards reculent.
    
    - Louis, sois plus doux. Oui tu peux les caresser et les embrasser, mais doucement. Hum !
    
    - Ma chérie, prends-moi dans ta main. Donne, je te guide. Tu l’as ? Bouge, ha ! N’aie pas peur. Il est gros hein ?
    
    - Oui, mais court !
    
    - Court mais vigoureux, tu vas voir. Tu le sentiras passer. Tu pourrais me sucer un peu ?
    
    Un genou de Lili touche le sol, le second suit. Elle a effectué un quart de tour, est parallèle à la longueur du lit. Grosse bite lui fait face. Son pied gauche arrive à la limite de ma cachette. Ce n’est plus une bite ou une fellation qui lui fait peur. Elle s’est exercée sur les pauvres, elle peut tout aussi bien éblouir son riche patron et sans préservatif.
    
    - Oh !oui. Comme ça, c’est bon. Je peux poser ma main sur ta tête ? Oui, hum, tu es douée. Ça va, je ne suis pas trop épais pour ta petite bouche ? Tu n’en as jamais vu d’un pareil calibre. Toutes les filles me le disent. Ah ! Encore petite.
    
    - C’est vrai, les mâchoires souffrent. Comme ton engin est court il pénètre sans blesser la gorge. Dis, tu peux te retenir. Veux-tu éjaculer tout de suite ?
    
    - Bien, relève toi et assieds-toi là, au bord de la couche. C’est un lit double : tu vis avec quelqu’un, un homme ou une femme ? Tu es déclarée comme célibataire, non mariée sur nos registres.
    
    - J’ai un compagnon.
    
    - Il n’est pas là ? C’est un jaloux, il pourrait arriver ?
    
    - Ne crains rien. Il a décidé de faire un break. Voilà ce ...
    ... qui me rend disponible pour quelques jours.
    
    - Et toi tu en profites pour lui faire des cornes. Toutes pareilles ! Enfin, comme tu veux faire l’amour, je ne ferai pas le difficile. Tu es si bandante.
    
    - Attends, je vais te montrer quelque chose.
    
    Les pieds de Lili s’éloigne, elle quitte la chambre. Louis bougonne :
    
    - Toi, ma salope je ne vais pas te louper.
    
    Les pieds reviennent.
    
    - Tiens, lis le mot qu’il m’a laissé avant de partir.
    
    - Ha ! Eh! Bien. Ah! Le con, te laisser seule, toi si jolie et te dire de coucher pour trouver mieux que lui. Quel âne. Il y a toujours mieux. Pour qui se prend-il, ce crétin ? Viens, je suis ton homme. Assieds-toi, je vais tout de suite te prouver que je suis celui qu’il te faut. Les deux talons de Lili se balancent devant mon nez. Louis s’agenouille en face. Ses mains repoussent le bas des mollets : il se fraie un passage entre les jambes.
    
    - Le magnifique bijou que voilà. Je vais me régaler. L’odeur de ton abricot est suave. Pose tes jambes sur mes épaules et laisse-toi aller sur le dos.
    
    Les pieds de Lili disparaissent de mon champ de vision. En avançant un peu j’aperçois la chose du monsieur. Devant deux grosses couilles gonflées se dresse une espèce de gourdin presque aussi large que long. A vue d’œil dix de long, cinq ou six de large au gland, peut-être sept à la base près du scrotum. Je ne voudrais pas sentir passer entre mes fesses cette queue phénoménale. Comment Lili supportera-t-elle la pénétration de ce truc ? Elle ...
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