1. Accueil de déshérités 4


    Datte: 11/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... le sentira passer. Elle l’aura voulu. Je lui en veux d’avoir montré à son chef le mot que je lui ai laissé. Ça coupe court à de longues explications : je ne lui écrirai plus jamais si elle ne sait pas garder pour elle ce qui n’est destiné qu’à elle.
    
    - Petite, avance tes fesses vers moi, tu es trop loin. Tu as un joli toupet. Ta fente est parfaite, je vais te sucer le berlingot. Tu sens ma langue.
    
    Elle murmure un faible oui tremblé. Deux ou trois secondes plus tard sa respiration se fait plus lourde. La queue de Louis monte un peu. J’entends les bruits mous et humides de succion auxquels répondent des soupirs de plus en plus explicites. Le cochon bave dans l’auge, il lape, aspire avec force, elle geint à chaque troisième ou quatrième inspiration. Le jeu lui plaît.
    
    - Ton suc est délectable. De toutes les femmes que j’ai léchées tu es incontestablement la meilleure. Tu aimes ?
    
    - Oui, Louis, murmure ma femme entre deux gémissements .
    
    Car c’est ma femme qui se laisse ainsi bouffer la chatte. Il reprend son souffle entre les longues périodes où il aspire et avale le jus féminin.
    
    - Tu n’as jamais pensé à te raser la motte ?
    
    - Non, André préfère ma toison proprement taillée.
    
    - Tu pourrais au moins dégager les grandes lèvres. Un rasage complet te donnerait un aspect d’adolescente toute neuve. Tu devrais essayer, de toute façon, les poils repoussent. Comme dit ton compagnon, il faut essayer avant de choisir.
    
    - Trêve de bavardage, si tu continues à me ...
    ... mâchouiller les lèvres nous n’aurons pas le temps de nous unir. Tu traînes et tu m’irrites les muqueuses. Viens t’allonger.
    
    - Non, je voudrais rester debout. Tu as glissé en arrière, reviens au bord. Voilà.
    
    Il ajuste ses pieds pour se trouver à hauteur du sexe de Liliploie légèrement les genoux:
    
    - Comme ça. Je tiens tes cuisses. Avec une main guide-moi. Oui, oh!
    
    - Là, tu es en place. Pousse, mais sans forcer. Ton membre de gros diamètre va m’ouvrir. Ne me déchire pas en brusquant. Un vagin a besoin de s’accoutumer. Avec délicatesse tu élargiras mes parois sans me blesser.
    
    Ça sent la femme d’expérience!
    
    - Je sais tout ça. Là…ça pénètre. Tu as mal ? Je peux? Tu souffres ?
    
    - Non, c’est supportable pour l’instant. Aïe ! Doucement, recule un peu. Reviens… Ah, ce que tu es fort.
    
    Lili apprécie; j’enrage, comme l’a dit Louis, je suis un crétin.
    
    - Je recommence. …ça va mieux, hein. Ça entre toujours avec de la patience. Dedans, reculer, rentrer, reculer.
    
    - Bah! Où es-tu passé ? Déjà sorti ?
    
    - Non j’ai dérapé.
    
    Sous le lit; j’ai failli éclater de rire. Louis passe son temps à déraper. Lili s’énerve :
    
    - A cette allure nous n’en finirons jamais. Allez grimpe, couche-toi sur le dos et laisse-moi faire.
    
    Elle n’abandonnera pas, tient à satisfaire son patron, avec ma bénédiction. Elle pourra en faire une preuve de son amour pour moi, en exhibant mon billet! Les pieds de Louis disparaissent à leur tour. Le sommier grince sous son poids.
    
    - Tu préfères ...
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