1. Accueil de déshérités 4


    Datte: 11/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... soins. Robert le lui a rappelé en la félicitant pour son art de la masturbation et de la fellation. Cinq fois elle a fait éjaculer ces hommes. Ça laisse des traces dans la tête et dans les sens. Et son complice lui a fait envisager des pénétrations vaginales protégées. Le refus de Lili s’est effrité puisqu’elle a demandé un temps de réflexion. Il a fait valoir le plaisir et le bonheur des déshérités.
    
    Lili pourra-t-elle résister à cette sorte de chantage ou se croira-t-elle investie d’une mission auprès de ces pauvres hères. Robert est habile et compte bien exploiter la pitié de cette jeune femme pour l’attendrir en sa faveur : que pourra-t-elle lui refuser après avoir livré son sexe aux autres ? Elle lui a rappelé qu’il est marié. Il se dit « mal marié » et entre ainsi dan le troupeau de ceux qu’il convient d’aider, de consoler et de chérir. C’était son plan, mais après ce dernier baiser et la plongée de ses doigts en milieu humide et odorant, il a brûlé les étapes. Demain il pénètrera Lili. Comment en douter ? J’y serai, je saurai. Ah ! Le salaud.
    
    Le lendemain midi je décide de placer une Webcam dans le salon et mon magnétoscope sur l’armoire de ma chambre à coucher. Le soir je passerai avant eux pour mettre mes appareils en marche. J’entre tranquillement, je cherche un moyen de dissimuler mes espions. Tiens, j’entends un bruit de clé dans la serrure de la porte d’entrée et le bruit d’une conversation. Lili aurait avancé son rendez-vous avec Robert alors que je les ...
    ... croyais enlacés de l‘autre côté de la porte ? A reculons je me retrouve dans ma chambre. Des pas résonnent dans le vestibule. Je rampe sous mon lit et ramasse des minous. Lili néglige le ménage en raison de son travail et de ses occupations de bénévole. Plutôt du sperme que de la poussière !
    
    - Ta chambre ?
    
    - Oui, mais nous n’aurons pas le temps, monsieur. Vous avez un rendez-vous cet après-midi.
    
    - Cesse de m’appeler Monsieur mon petit. Dis « Louis » et « tu ». Ici je ne suis pas ton patron. Évidemment au travail, nul ne doit avoir de soupçon. Tu me comprends ?
    
    - Oui, monsieur Louis! J’ai bien compris.
    
    - Ha ! Que tu es drôle… Le matelas semble bon.
    
    - Acheté chez nous, Louis.
    
    - Vrai? Essayons-le. J’en brûle de désir, mon petit.
    
    Les pieds du « patron »sortent des mocassins. Le pantalon s’écrase à terre. Suivent cravate, chemise, caleçon. Les escarpins de Lili rejoignent les mocassins. Je pourrais toucher les talons de Lili. Son pantalon couvre celui de l’autre. Elle se déplace contre le lit. Deux pieds encadrent les siens.
    
    - Ah! Enfin. Depuis le temps. Tu m’auras fait languir. C’est ta promotion qui t’a décidée ?
    
    - Oh ! Non. Je vous expliquerai.
    
    - Plus tard. Embrasse-moi. Hummm.
    
    Un pied de Louis se glisse entre ceux de Lili. Un genou passe entre les genoux de Lili. Je ne vois pas plus haut. Les pieds de Lili s’éloignent l’un de l’autre. Ils sont muets sans doute parce que leurs lèvres restent collées
    
    - Laisse-moi enlever ton soutien-gorge… Oh ...
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