1. Tu es cocu mon chéri, mon coeur (suite et fin)


    Datte: 08/10/2019, Catégories: fh, extracon, hotel, cérébral, lettre, Humour lettres, extraconj, Auteur: Mélissa, Source: Revebebe

    ... donnerais cher pour savoir ce que tu ressens réellement au plus profond de toi sans tricher, sans (te) mentir ? Ne me dis pas que tu es heureux !?! Ne me dis pas que tu te sens intensément « homme » dans cette histoire ? Ne viens pas me dire que tu as le beau rôle, mon chéri ! Que tu te sens fier de toi ? Fier de quoi ? D’être cocu ? Quelle image as-tu de toi, sachant que je jouis bien plus fort avec mon amant qu’avec toi ?
    
    Imagine-toi bien que je fais des choses avec son sexe, son membre, sa queue, sa bite qui me fait jouir bien plus que la tienne… Imagine-la entre mes mains qui la caressent, qui l’effleurent du bout de mes doigts sur toute sa longueur… qui la font tressauter d’impatience… le temps que mes lèvres prennent le relais, puis que lentement, je me l’enfonce dans la bouche, que je la lèche. Imagine-moi, oui moi, ton épouse, la mère de tes enfants, en train de sucer cet homme et de le faire gémir, lui qui aimerait tant éjaculer dans la bouche de ta femme, mon cœur !
    
    Imagine-le, cet homme, en train de me pénétrer… Vois-tu cette bite entrer en moi ? Qu’est-ce que ça te fait ? Ça te plaît ? Ça te plaît d’imaginer que pendant qu’il s’enfonce en moi, je te regarde droit dans les yeux, mordant mes lèvres, passant ma langue pour ne pas qu’elles se dessèchent ? Vois-tu la peau de mes joues luisantes de transpiration car, avec lui, j’ai chaud, je transpire ; avec lui, c’est la chevauchée fantastique, tu sais !
    
    Rends-toi bien compte que ce type me baise mieux que ...
    ... toi, et que le risque existe vraiment que très vite, il me… fasse mieux l’amour que toi !!! N’as-tu pas peur que j’y prenne tellement goût que ça me pousse chaque jour un peu plus dans ses bras, au risque que je m’attache à lui comme mes mains aux barreaux de ce lit dans lequel il m’a prise hier après-midi ? Ne te poses-tu pas la question de savoir quelle image j’ai de toi en tant qu’homme ? Ni pourquoi tu ne te bats pas pour ne pas risquer de me perdre ?
    
    Te sens-tu tellement indispensable à ma vie ? Tu l’étais jusqu’à il y a peu, c’est vrai…
    
    Je ne suis PAS une fragile poupée de porcelaine. Je ne risque pas de casser, va ! Je suis une femme avec des mains, une bouche, un sexe, un cul ! Je n’ai plus assez de ta douceur, de tes caresses, de tes câlins. Je suis une femme qui avait besoin d’être bousculée, une femme qui à présent s’excite enfin à la vue de l’homme viril qui lui montre sa furieuse envie d’elle…
    
    Excuse-moi si j’ai cassé l’ambiance érotique de ce récit ! Tu sais quoi ? J’aurais pourtant bien envie de le tromper aussi, cet amant idéal ! De le faire cocu, lui aussi… Si tu connais un homme, disons entre 45 et 50 ans, marié, qui respecte « la femme », mais qui accepterait d’apprendre à lui faire l’amour de manière plus virile quand il le faut, quand il sent que c’est le moment, hé bien mon chéri, mon cœur, à cet homme, dis-lui de ma part si tu veux bien, que je suis « sa femme » et que c’est quand il veut, où il veut !
    
    Dis-lui bien, surtout, de ne pas avoir ...