Récompense pour garçon sage - Histoires de Sexe

Récompense pour garçon sage

... semblent fades à côté d’elle. Elle a un rire triomphateur.

— Mais tu sais bien que ce n’est pas possible entre nous. Quatorze ans de différence d’âge, tu te rends compte !

Alors je n’en peux plus, et je la serre dans mes bras, très chastement. Je pose ma tête sur son épaule.

Comme c’est bon de sentir ma tête sur sa poitrine pleine ! J’aurais envie de tant d’autres choses, mais je ne veux pas abuser, de peur qu’elle mette fin à ce moment délicieux.

Je la sens calme. Elle me caresse les cheveux. Ah, la douceur de ses mains, je crois que c’est son meilleur atout ! Jamais je n’ai connu une femme comme elle, qui vous caresse le sexe avec la légèreté d’une plume.

Tous ces souvenirs renforcent encore mon excitation, alors je lui dépose un baiser sur la joue puis je cherche ses lèvres.

Elle me concède un petit baiser. Le contact de sa langue sur la mienne m’électrise. Enfin, elle va se donner.

Mais elle me repousse presque immédiatement :

— Arrête, Michel. Je me connais. Je ne veux pas aller plus loin, car je t’ai déjà dit que ça me perturberait. Tu m’as promis d’être sage. Tiens ta parole, ou il faudra t’en aller…

Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, et retourne au coin du canapé. Le problème, c’est que j’ai une érection de taille. J’allume une cigarette pour me donner une contenance.

— Tu fumes trop Michel !
— Il faut bien que je m’occupe les mains.

Encore son rire qui a le don de m’exciter au plus haut point.

— Allons, allons, calme-toi. ...

... Comment fais-tu quand je ne suis pas là ?

La coquine, elle veut tout savoir ! Je lui explique que ses photos me permettent d’être avec elle en pensée…

Elle éclate à nouveau de rire :

— À ce point-là !

Je lui demande si elle me trouve ridicule, elle m’assure que non, et rit à nouveau !

— Il n’y a que toi qui me mettes de bonne humeur !

L’heure tourne. Alice me dit qu’elle a des courses à faire. Moi je n’ai pas envie de la quitter. Alors je lui demande un baiser, juste un baiser avant de partir.

Je suis debout en face d’elle, je me penche, ses lèvres s’entrouvrent, elle m’embrasse, nos langues se croisent à nouveau et l’excitation revient, encore plus forte, j’ai l’impression que mon pantalon va exploser.

Elle me repousse.

— Il faut arrêter, Michel ! C’est l’heure que tu t’en ailles…

Puis elle jette un regard sur ma bosse :

— Oh dis-donc !

Je suis penaud d’être dans un tel état.

— Ecoute, Alice, je ne peux pas repartir comme ça. Je te promets que je vais aller me calmer dans tes toilettes, si tu me le permets. Je te demande juste une chose, un baiser, un dernier baiser.
— Non Michel, je ne veux pas, car moi aussi ça me fera perdre la tête, mais comme tu as été sage, allez, je peux bien te donner une petite récompense !

Puis elle caresse ma bosse.

— Effectivement, il y a urgence. Baisse ton pantalon et ne me touche pas, laisse-moi faire.

Je m’exécute. Je suis debout face à elle, le pantalon et le slip sur les pieds, elle toujours ...