1. Récompense pour garçon sage


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, fplusag, amour, nopéné, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    ... problème, tu pourras venir après ton rendez-vous. Mais attention, tu m’as promis d’être sage !
    
    Il y a des matinées plus longues que d’autres, celle-ci me paraît interminable. Treize heures, enfin ! Je sonne à sa porte, elle m’ouvre. Gros pull, jean, mules aux pieds. Un sourire qui me fait défaillir. Je l’embrasse timidement et j’entre.
    
    Elle, toujours active. Elle me montre ses nouveaux tableaux (elle peint), met des bûches dans la cheminée, va débarrasser la table, range des revues qui traînent. Moi, émerveillé, je la regarde et je me remplis les yeux. Elle me plaît toujours autant. Comme c’est bon de la voir bouger devant moi, je n’ai qu’une envie, la serrer dans mes bras. Mais je suis un garçon sage et je tiens ma promesse, même si déjà je sens que je suis excité.
    
    Enfin, elle me propose un café. Je la suis dans la cuisine pendant qu’elle le prépare, et ne me lasse pas de voir ses fesses. Elles sont petites et bien rondes, bien galbées : un vrai plaisir de les sentir sous sa paume. Des souvenirs me reviennent. Je me souviens quand elle me branlait. Elle aimait faire durer, et retenir ma jouissance ; je devais me laisser faire sans bouger. Caresser ses fesses était le seul geste qu’elle m’autorisait dans ces moments là. Autant dire que je les ai caressées, malaxées, serrées fort quand je jouissais. De les voir ainsi toutes vivantes, fait renaître un désir que j’aimerais éteindre pour tenir ma promesse, mais en vain !
    
    Quand elle amène le plateau avec les deux ...
    ... tasses au salon, elle se penche et je vois encore mieux ses seins entre lesquels plus d’une fois elle m’a fait jouir.
    
    Que de souvenirs ! L’incendie continue de couver, bien malgré moi.
    
    Elle s’assoit dans le canapé. Je cherche des yeux un fauteuil où me poser, mais ils sont tous deux occupés par des habits à repasser. (Elle n’est pas toujours très ordonnée.)
    
    Je reste debout, gêné, et elle me dit :
    
    — Tu peux bien venir à côté de moi, non ? Je ne te fais pas si peur ?
    — Tu es sûre que c’est une bonne idée ?
    — Tu m’as promis d’être sage. Sinon, tu t’en iras.
    
    Alors je m’assois. Etre si près d’elle et ne pouvoir la toucher : un vrai supplice. Mais pourtant je suis heureux aussi, elle me manquait tant.
    
    Elle me raconte sa vie, ses petits malheurs, ses petits bonheurs. Me parle de ses petits enfants, de nos amis communs. Moi je la regarde, je devine ses seins lourds sous son pull ample, je vois ses mains s’agiter quand elle parle, et je me souviens de toute la douceur dont elles sont capables. Je ne me lasse pas de son regard brillant et conquérant, de ses sourires charmeurs.
    
    Je me cale au coin du canapé pour résister au désir qui m’envahit.
    
    — Tu ne me parles pas beaucoup, Michel.
    — C’est à dire que tu m’émeus tellement, que je suis sans voix.
    — Allons, allons, à ce point ? Je te fais toujours autant d’effet ? Pourtant, je ne me trouve pas belle. Je suis vieille. Tu peux trouver mieux que moi.
    
    Je lui assure que j’ai essayé, mais que toutes les femmes me ...