1. Récompense pour garçon sage


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, fplusag, amour, nopéné, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    Ma belle Alice, reine de mes jouissances, me manque terriblement.
    
    Depuis plus de 10 ans nous avions une relation. Il faut dire que malgré ses soixante-quatre ans, elle a un corps qui me fait rêver : petite, encore mince, et des seins de rêve, ronds, lourds et qui tiennent encore bien. Féminine à souhait, toujours soucieuse d’être sous son meilleur jour, et surtout, surtout, une envie de séduire qui ne laisse personne indifférent. Un regard pétillant, un sourire enjôleur : c’est plus fort que moi, dès que je la vois, je suis pris d’un désir puissant. Mais au fil du temps, elle m’a appris à le maîtriser, et nous mêlions nos jouissances jusqu’à épuisement.
    
    La dernière fois que je l’ai vue, en juin, nous avions fait l’amour avec passion. J’avais même réussi à lui « voler » quelques photos.
    
    Mais toutes les bonnes choses ont une fin, elle a rencontré un homme de son âge et elle ne veut plus que je lui rende visite :
    
    — Ça me perturbe, me dit-elle. Que veux-tu que nous fassions ensemble avec notre différence d’âge ?
    
    Bien entendu, j’ai essayé de la convaincre qu’elle pourrait avoir aussi un amant, en plus de son compagnon, mais elle est intraitable, même si je sais que je ne lui suis pas indifférent. Que faire, sinon attendre des jours meilleurs, et mater ses photos de temps en temps pour essayer de faire revivre toutes les sensations qu’elle me procure ?
    
    Je la rencontre de loin en loin, mais jamais seule. Chaque fois, je me rends compte que je l’ai vraiment ...
    ... dans la peau. Je ne manque pas de la féliciter à chaque fois pour sa tenue, et elle me gratifie d’un de ces sourires qui me désarment et me font perdre la tête.
    
    Voilà donc mon triste sort. Ma seule consolation est de penser qu’elle est heureuse dans sa vie, du moins je l’espère. Alors je la laisse tranquille, et de temps en temps je visionne les quelques photos que j’ai d’elle, je rêve d’elle et de toute la sensualité dont elle est capable.
    
    Le jour de son anniversaire, je lui ai quand même envoyé un petit SMS pour tenter de renouer le contact. Quelques jours après, un appel, son nom s’affiche. Enfin !
    
    Elle me remercie de mon attention (elle n’a lu le message qu’une semaine plus tard, parce qu’elle n’est pas une familière des nouvelles technologies) puis nous parlons une demi-heure. Elle me dit qu’elle n’est pas très heureuse dans sa nouvelle vie, mais qu’elle fait avec, au moins elle n’est pas seule. Elle me rappelle nos souvenirs communs. Elle me répète que continuer avec moi la perturberait.
    
    Moi je l’écoute, trop heureux de l’entendre. Au détour d’une phrase, je lui glisse que j’ai une affaire dans sa ville prochainement.
    
    — Et tu voudrais passer me voir ?
    — Oui, bien sûr, si ça ne te dérange pas ?
    — Ecoute, si mon ami n’est pas là, passe. Mais promets-moi d’être sage.
    
    Je promets, je n’ai pas le choix, non, même si j’ai des espoirs ?
    
    Semaine épouvantable. Va-t-elle être libre ou non ?
    
    Le jour fatidique arrive. Dès 8h30, elle m’appelle :
    
    — Pas de ...
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