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Le dîner du 14 juillet
Datte: 06/10/2019, Catégories: fh, 2couples, jeunes, extraoffre, danser, fête, amour, jalousie, noculotte, pénétratio, nostalgie, Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... qu’il serait cocu pendant la nuit. — Il a dit ça ? s’étonne Marion en rougissant. — Oui, à peu près. Mais comme j’ai confiance en toi… Et puis je suis ici ! — Vous allez vous surveiller l’un l’autre, conclut Olivier. Vous doutez donc de votre mutuelle fidélité. — Pas du tout ! s’insurge Marion, alors que des serveurs apportent les hors-d’œuvre. — Tu es donc nue sous cette chemise, hélas bien trop longue, ô divine Marion ? demande Olivier, ce qui fait sourire le serveur qui regarde mes cuisses et me dévisage ensuite en prenant un air égrillard. — Julien m’a dit qu’il fallait faire comme tout le monde… Mais ça ne prouve rien. — Tes seins pointent sous ta chemise, ça t’excite de penser que nous savons tous que tu es nue dessous, sans soutif, sans petite culotte… Julien t’a caressée, dans la voiture ? — Ça ne te regarde pas ! — Moi, j’ai bien caressé Sophie ! — Non, il ne m’a pas caressée ! Il a tenté, mais je lui ai dit de regarder la route et de laisser ses mains sur son volant. — Et maintenant, Sophie, si tu disais où se trouve mon pied droit ? — Entre mes cuisses. À peine assise, j’ai senti ton pied sur les miens, j’ai écarté les jambes. Ton gros orteil a débusqué mon clitoris. Si tu continues, il sera trempé, ton gros orteil… Marion, est-ce que Julien fait pareil avec toi ? — Oh non ! Mais… tu plaisantes, là ? — Pas du tout. Demande à Julien de vérifier. Tout rouge, Julien ! Il lève ses deux mains pour bien montrer qu’il refuse de vérifier. Mon autre ...
... voisin, lui, soulève la nappe, regarde et confirme : — Oui, le pied d’Olivier est sous la chemise de Sophie. Mais je ne sais pas jusqu’où est arrivé le gros orteil… Je peux en voir plus, Olivier ? — C’est à Sophie que tu dois le demander. Il tente de relever ma chemise. Je tape sur sa main : — Tu dois demander ! — Je peux, Sophie ? — Tu peux, Jérémy. Il relève ma chemise. — L’orteil d’Olivier est effectivement dans un endroit où je suis disposé à mettre autre chose, moi. Touche donc, et tu verras ! — Non, je ne toucherai pas. Je vais manger mes hors-d’œuvre et prendre mon pied grâce à celui de mon mec. Merci, Olivier ! — J’occupe la place. Laura sursaute soudain : — Doucement, Jérémy ! Tu n’es pas obligé d’imiter Olivier. L’ongle de ton gros orteil m’a fait mal ! Elle regarde Olivier : — Il m’a griffée, cet abruti ! Si tu me léchais, ça me soulagerait… Regardez là-bas, Antoine se glisse sous la table ! Pour qui, à votre avis ? Olivier, si tu fais pareil pour moi, je passe la nuit avec toi. — Et moi avec Sophie, donc, proclame Jérémy. — Tu dois me demander d’abord ! — Je pourrai, Sophie ? — Non. — Moi, si je me glissais sous la table, ce serait pour Marion, ose Olivier. — Oh ! s’offusque Marion, qui rougit de nouveau… Tu le laisserais faire, Julien ? — Mais… ce serait à toi de décider, ma chérie. Je ne veux que ton plaisir. — Mon plaisir… Elle regarde Olivier. Les artères de son cou palpitent. Elle doit mouiller de désir pour Olivier. ...