Anne, d'un mardi après-midi - Histoires de Sexe

Anne, d'un mardi après-midi

... de tout soutien. Je prends à pleine bouche ses seins, ma langue joue avec ses mamelons, lui tirant des petits cris de plaisir.

Je la guide vers mon pantalon et elle me libère aussi tandis que mes doigts courent le long de sa jambe pour plonger vers son entrecuisse, avidement. Doucement, doucement, me dis-je. Difficile. Anne, me caresse lentement le sexe et, comble du bonheur de tout homme, tombe à mes genoux, chemise ouverte et bouche déjà à l’ouvrage. Anne, quelle fellation m’as-tu faite là ! J’ai envié Hervé. Doucement, doucement. Lorsque j’étais presque près, je lui ai dit : « Attention ! », mais elle a continué, avalant avec un plaisir évident mes longs traits de semence, léchant ma verge de tout son long.

Les deux heures sont passées à la vitesse d’un TGV. Je n’aurais jamais pensé pouvoir en faire autant en si peu de temps. Le cunnilingus allongé sur la moquette a été un vrai point d’orgue. Je ne sais si les immeubles XIXe sont bien insonorisés, mais cela n’a pas retenu ma maîtresse de cette après-midi. Quatre fois j’ai joui, dans sa bouche, dans son sexe, dans ses reins enfin. Ai-je eu l’impression que leur étroitesse était preuve de leur virginité. J’ai voulu croire qu’elle m’offrait cette première fois.

La bouche pleine d’humeur encore chaude, elle m’a embrassé, passionnément. C’est la première fois que je goûtais mon sperme. Nos mains se sont rejointes. J’ai ôté sa jupe et son petit boxer, si érotique. Encore un fantasme d’homme, j’ai voulu qu’elle garde ses ...

... escarpins. Nue. Moi aussi. Nous nous sommes allongés sur le sol et ma bouche a parcouru son corps. Ses mains ont pris ma tête, me poussant toujours plus bas. Ma langue a léché l’intérieur de ses cuisses et je crois que ce fut son premier orgasme, tout simplement, là. Une violente décharge de son ventre, un cri, plutôt un râle et ses doigts qui serraient ma tête à m’en faire mal.

Ma langue, plus tard s’est aventurée à a recherche de son secret. Je l’ai trouvé, guidé encore par ses plaintes et ses mots. Ma langue s’en est emparé et ne l’a plus lâché jusqu’à l’abandon total d’Anne. Quel bonheur, j’ai cru éjaculer en même temps, mon désir était si intense.

Doucement, doucement, je l’ai mise sur son canapé et investie, doucement. Nos langues se sont retrouvées et j’ai partagé moi aussi ce jus que j’avais bu tout à l’heure. Anne a mis ses jambes sur mes épaules et pendant de longues minutes nous avons navigué ainsi, jusqu’à ce que je décide de pousser un peu plus loin mon avantage. Sortant de son sexe je lui ai présenté ma verge, encore chaude. Surprise d’abord, elle m’a souri et l’a avalée avec un même plaisir. Nous avons ainsi alterné des hauts et des bas. Le plaisir est venu, en même temps, presque, que le sien, et j’ai longuement joui en elle. J’ai voulu sortir pour inonder son ventre, mais elle m’a retenu, à fond, en butée. Pourquoi ?

Nous nous sommes enlacés. Je l’embrassais, caressant ses cheveux et elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle espérait ce moment ...