Un baptême de l'air au 7ème ciel
Datte: 05/10/2019,
Catégories:
fh,
avion,
ffontaine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Propilot, Source: Revebebe
... bronze qui n’offrait plus aucune résistance et que mon pouce continua l’exploration de sa caverne du plaisir, un jet dru et long aspergea la banquette. Je n’avais jusqu’alors jamais vu ça.
À chaque mouvement de mes doigts, aussi imperceptible qu’il pouvait être, il sortait de sa fente désormais totalement ouverte de bonheur, un jet puissant et dru qui la rendait heureuse. Elle avait les yeux fermés et la tête en arrière. Elle jouissait, tout simplement.
J’apprendrai des années plus tard que j’avais eu à mes côtés ce que l’on appelle trivialement une femme-fontaine.
Si elle prenait son pied, j’avoue que de mon côté je n’étais pas peu fier de rendre aussi heureuse une femme que je ne connaissais pas une demi-heure auparavant, le tout en gardant un œil sur la gestion de la trajectoire de l’avion dont le pilote automatique maintenait les éléments.
Elle se caressait le clitoris au rythme des soubresauts que la turbulence imposait à l’avion.
Ce spectacle, en plus de me remplir de joie, déclencha dans le fond de mon slip un branle-bas de combat qu’il fallait que j’arrive malgré tout à maîtriser si je voulais ramener l’avion à bon port.
Estimant qu’elle avait joui tout son saoul, je ramenai l’avion sur la piste, un peu déstabilisé par l’aventure qu’elle m’avait fait vivre.
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Le 7ème ciel… au sol !
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Arrivé tant bien que mal au parking, elle ramassa sa culotte sur la moquette. Elle me prit la main et déposa le morceau d’étoffe dans ma ...
... paume, un peu comme pour m’offrir le trophée qui marquait un moment qu’elle estimait inoubliable.
Avant que je ne descende pour débarquer, elle posa sa main sur la bosse de mon pantalon et d’un clin d’œil elle me fit comprendre qu’elle ne souhaitait pas s’arrêter là. Elle en voulait encore plus. Elle n’était pas rassasiée.
En me retournant vers son petit ami, je compris qu’il y avait moyen d’assouvir le besoin pressant de la gente damoiselle.
Le pauvre gars était livide, décomposé, hagard, avec quelques résidus douteux qu’il n’avait pas réussi à détacher de sur ses lèvres, tenant dans la main le sachet dans lequel il avait maintenu la tête durant le plus clair de son vol. Il avait le regard d’un homme qui venait de vivre le pire moment de sa vie. Toutefois, ses yeux me remerciaient de l’avoir ramené sain et sauf sur le plancher des vaches.
— C’était super ! Vous êtes un pilote champion, et je m’y connais ! crut-il bon d’ajouter pour faire bonne figure devant sa moitié qui n’avait cure de ses états d’âme.
J’étais un peu sceptique quant au fait qu’il puisse « s’y connaître », comme il le prétendait.
En l’aidant à descendre de l’habitacle, je lui conseillai d’aller prendre un verre au bar pendant que sa copine et moi on visiterait le hangar et les autres avions.
— Allez donc prendre un verre ! Je vous l’offre ! lui lançai-je à dessein.
Il ne demanda pas son reste et, content de savoir que je lui offrais un coup à boire bien mérité, il détala tel un lapin en ...