Arrivée en Canfre : Jacquotte, les Galleway, de La Tiémont
Datte: 02/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
pénétratio,
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... de Margot, la vache de la maison.
— Il y a abondance de foin ici et ce n’est pas Margot qui nous gênera, ni l’inverse d’ailleurs.
Louise pose le bougeoir sur une tablette et ferme la porte. Quand elle se retourne, il l’embrasse à nouveau, puis commence à la dévêtir. Elle coopère activement, avant de s’attaquer aux vêtements de Joshua qui met le même enthousiasme à collaborer. Elle étale soigneusement jupe et jupons sur le tas de foin avant de s’y laisser choir, aussitôt rejoint par son sigisbée.
Les préliminaires se limitent à un rapide, mais ardent, baiser et quelques caresses que Joshua prodigue à la dame, qui écarte, sous icelles, largement les jambes. Il passe au-dessus d’elle, qui s’empare du sexe dressé pour le guider vers son intimité. Il y pénètre sans difficultés, l’endroit étant détrempé à souhait. À peine a-t-il conquis la place, qui d’ailleurs ne se défendait pas, que Louise l’enserre de ses bras et jambes. Tant il est échauffé, il craint de se répandre trop prestement, fort heureusement il n’en n’est rien. Il tient fort honorablement la distance. Quand il se retire pour arroser la brune toison, la dame, sous l’assaut, a connu le plaisir.
Tous deux restent allongés, côte à côte silencieux. Nul n’ose rompre le silence. Chacun se sentant fautif de s’être ainsi laissé aller, mais surtout chacun craint de ne perdre l’estime de son partenaire. Joshua le premier rassemble son courage :
— Louise. Je suis fort marri de vous avoir ainsi brusquée. Je me ...
... suis laissé emporter par l’attrait que vous exercé sur moi. J’aurais dû faire montre de plus de sagesse.
— Mon ami ne battez pas votre coulpe. L’attraction est réciproque. Vous ne m’avez nullement forcée. J’aspirais autant que vous à… baiser… Je n’aurais jamais cru me conduire ainsi un jour. Qu’allez-vous penser de moi, de ma conduite immorale ?
— Rassurez-vous, je sais que vous n’avez rien d’une débauchée. À peine avions-nous échangé trois phrases que j’ai éprouvé une sympathie pour vous. J’avoue que malgré mon âge, au bout d’une journée à vous côtoyer, je me suis senti ému comme damoiseau. Quand je vous ai senti affligée contre moi, je n’ai pu résister.
— Vous avez fait alors, ce dont j’avais inconsciemment désir, car moi aussi, j’ai très rapidement été attraite par vous.
Après ce double aveu, chacun le savourant, de nouveau le silence s’installe. Joshua se rembrunit brusquement.
— Je n’ai rien à vous proposer. Je ne suis qu’un paysan exilé, alors que vous tenez boutique.
— La belle affaire. Ce n’est point grand commerce. Depuis la mort de mon époux, je rêve d’aller m’établir dans un endroit où la concurrence est moins rude. Seule, je n’ose de me lancer dans pareille aventure, tandis qu’avec vous, je me sens le courage de tout entreprendre.
— Ne me surestimez pas. Je ne voudrais point vous décevoir.
— Vous ne me décevrez que si vous ne faites point votre demande.
— Ma demande ! Mon Dieu… Bien sûr. Devenir votre époux est mon plus ardent souhait. En voyant nos ...