Sophie apprend à satisfaire
Datte: 02/10/2019,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
soubrette,
massage,
Oral
init,
initff,
Auteur: Bao, Source: Revebebe
... repartant ensuite légèrement dans l’autre sens, effleurant la cambrure de son arrière-train. Le peignoir a glissé encore plus bas, mais ni Madame ni Sophie ne l’ont remarqué.
Cette dernière caresse est électrique pour Madame Arlette, qui sent désormais ses fesses brûler de l’envie d’être elles aussi caressées comme l’ont été ses épaules et son dos. Elle murmure un « Encore, Sophie » qui rassure sa bonne et l’encourage à passer ses mains sur les hanches et à repartir à la découverte des rondeurs de Madame Arlette. Et Sophie leur prodigue le même soin qu’à son dos, de longs passages lents et légers pour les habituer à sa touche, une pression de plus en plus forte pour stimuler la zone dans son entier et enfin un pétrissage amoureux des chairs afin de les faire exhaler toute leur volupté.
Sophie est toute à son ouvrage et Madame Arlette sent une chaleur se répandre dans son corps, partant de l’arrière de son corps pour irradier vers son bas-ventre et commençant à venir tarauder le bout de ses seins qui reposent à cru sur le velours des coussins dont le frottement commence à singulièrement la stimuler.
Elle décide donc qu’il est injuste que l’arrière de son corps reçoive autant d’attention et que l’avant en soit privé. Sophie pétrit son derrière de ses mains fortes et repart sur tout son dos d’une longue caresse qui l’électrise plus qu’elle ne la détend. Elle se résout donc à dire, d’un murmure impérieux :
— Sophie, faites donc aussi mes flancs et l’avant de mes ...
... épaules.
Simultanément, elle se retourne, emportant d’une main le tissu de son peignoir qu’elle laisse retomber sur son bas-ventre, mais présentant à Sophie, allongée au bord de sa méridienne, le spectacle de ses seins blancs haut dressés, à la forme pleine et aux tétons sombres et bien raides, légèrement penchés de part et d’autre de sa poitrine. Madame Arlette ferme les yeux en faisant un petit signe du menton qui signifie à Sophie de ne pas perdre de temps.
Et celle-ci, fascinée par cette nudité, commence donc à nouveau à serrer et caresser les épaules de Madame, passant ensuite légèrement à son décolleté, puis à ses côtes, contournant mais n’osant pas encore toucher cette poitrine dont elle ne peut toutefois détourner les yeux. Ses seins à elle sont plus lourds, leurs aréoles à peine visibles.
Sous le coup de cette tendre frustration de sentir ses seins poindre fièrement à l’air et d’avoir ces mains si proches se refuser à les toucher, Madame Arlette est poussée à la fois vers la fureur et la pâmoison. Instinctivement, pour forcer Sophie à s’en emparer, elle se cambre lorsque cette dernière est occupée avec ses pouces à masser la délicate région du buste située juste en-dessous du pli des seins. Avec le mouvement, les pouces de Sophie glissent et se retrouvent mystérieusement sur le sommet des tétons de Madame Arlette. Celle-ci frotte alors ses seins aux pouces de Sophie, qui reste un instant immobile, et cette sensation fait gémir Madame Arlette.
Entendant cette ...