1. Sophie apprend à satisfaire


    Datte: 02/10/2019, Catégories: ff, fplusag, jeunes, soubrette, massage, Oral init, initff, Auteur: Bao, Source: Revebebe

    ... peignoir de ses épaules afin… que je puisse masser son dos directement. Sa peau serait ainsi directement baignée de l’huile et certains médecins recommandent pour le massage un contact direct avec la peau pour un effet plus revigorant. Aussi, si Madame agrée… ?
    
    Madame Arlette garde le silence un instant à l’idée de se déshabiller ainsi, mais que diable ! Sophie la voit déjà chaque jour à toutes les étapes de sa toilette et dans toute son intimité. Si elle lui brosse les cheveux et lui agrafe sa robe, elle peut bien mettre ses mains sur son dos… Et cela fait dix jours maintenant que le Capitaine est parti et que personne ne l’a touchée, sauf les mains de Sophie sur ses épaules, l’apaisant légèrement. Pourquoi se priver de cette détente pour une question de peignoir ?
    
    — Faites donc, faites donc Sophie, répond-t-elle rapidement.
    
    Sophie dégage donc délicatement les bras de Madame Arlette de son peignoir et le fait glisser sur ses épaules vers le bas. Madame Arlette ne porte rien en-dessous. Sophie est un peu intimidée, elle a déjà vu Madame Arlette nue et son corps fin et blanc à plusieurs reprises. Il n’y a pas de vie privée qui tienne face à un domestique, mais c’est la première fois qu’elle fait glisser ses mains le long de la courbure de sa nuque et de ses vertèbres, aidée par le glissement doux de la soie en une caresse qui fait atterrir le morceau d’étoffe au creux des reins de Madame Arlette.
    
    Et, ayant versé sur ses mains de l’huile de senteur, Sophie ...
    ... commence à masser Madame Arlette. Elle commence par le haut des épaules, le cou et fait lentement son chemin vers ses vertèbres, ne bougeant que lorsque chaque nœud a été dénoué, aplani et que la peau est détendue et se donne sous ses mains. Aidée par l’onctuosité de l’huile, elle fait des gestes plus amples qu’à l’habitude, quoique sa pression soit suffisamment forte pour pétrir en profondeur le dos de Madame Arlette.
    
    Et cette dernière apprécie énormément cette nouvelle expérience. Cette pression, parcourant son dos dans un mouvement lisse et souple, lui fait fermer les yeux. Son attention se concentre uniquement sur le prochain endroit où vont se poser les mains de Sophie et cette sensation, cette impatience, sont très agréables. À plusieurs reprises, elle enjoint Sophie de ne pas arrêter et repart dans sa rêverie sensuelle.
    
    Après quelques minutes d’échauffement où elle reste concentrée, Sophie aussi se prend peu à peu au jeu. Ses paumes glissent si facilement et le corps de Madame Arlette est si doux, à peine soulevé par le rythme de sa respiration, que Sophie perd son appréhension et commence ainsi à véritablement parcourir ce corps qui est allongé sous elle.
    
    Elle se laisse emporter par le rythme de ses caresses et ses mouvements deviennent de plus en plus amples. Si amples même qu’ils l’emmènent de plus en plus bas, suivant sans scrupule toute cette courbe, les paumes de ses mains atterrissant lourdement quand elles arrivent dans le creux et, incapables de s’arrêter, ...
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