1. Le salon des artistes indépendants fête ses vingt ans


    Datte: 01/10/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, confession, portrait, occasion, aliments, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... faisaient pas partie du groupe des fêtards partouzeurs.
    
    Ils louaient une villa loin de la côte, un peu à l’écart de la colonie française installée en ville. Je compris un jour, les raisons de leur choix de vie, un peu par hasard. J’avais négocié avec Corentin pour qu’il revende sa voiture à mon directeur d’usine qui la convoitait. Le brave tunisien se sentit obligé de me dévoiler, après l’achat, le pot aux roses. Le breton et sa grosse épouse avaient rajouté une clause supplémentaire au contrat de vente : il avait dû honorer Madame pendant que Monsieur filmait la partie de jambes en l’air. Renseignements pris auprès des voisins tunisiens du couple, mon patron apprit que les bretons n’en étaient pas à leurs premiers échanges filmés, franco-tunisiens.
    
    Pas de Vanderm dans le Finistère. Finalement, je retrouvais mon énergumène échoué à Senlis. Après quelques échanges de mails, on retrouva nos repères et notre amitié en évoquant nos débauches passées. Il en était à son troisième divorce mais il avait une flopée d’enfants et de petits enfants adorables.
    
    Il accepta le parrainage, par amitié. Inutile de décrire l’explosion de joie de Brigitte quand je lui confirmais par téléphone la venue de l’artiste. Une demi-heure après, elle était chez moi pour me remercier à sa manière. Quand, les larmes aux yeux, elle me gratifia d’un baiser fougueux prolongé, je savais que les instants qui suivraient seraient chauds.
    
    Elle se débarrassa rapidement de son imperméable et de sa ...
    ... robe à grosses fleurs jaunes. Elle était dans le plus simple appareil, n’essayant aucunement de cacher la moindre parcelle de son corps nu. Quand Brigitte s’approcha pour me dévêtir, une suave odeur de jasmin me chatouilla les narines. Ma verge se retrouva vite en érection tant ma copine était motivée et active. Je trouvai que la moindre des politesses était de lui montrer que je n’étais pas un ingrat. Ma langue rencontra un filet, d’un liquide sucré, qui suintait de l’orifice anal. Instinctivement, je sortis vivement le visage d’entre ses cuisses, ce qui fit rigoler mon amie.
    
    — Quel poltron ce Pierre ! Mais ce n’est que du miel, c’est le seul lubrifiant qui me soit tombé sous la main. J’ai pensé que ça te ferait plaisir… mais, c’est à titre exceptionnel, juste par curiosité de ma part.
    
    Un camion de mon usine fit un petit détour pour charger quelques unes de ses œuvres et, le matin de l’inauguration, je le prenais en charge à la gare. Son crâne étant dégarni, il avait laissé pousser ses cheveux blancs pour les coiffer en queue de cheval. Une chemise blanche, du genre de celle de B.H. Lévy mais moins décolletée, confirmait son allure d’artiste. Je lui avais concocté un carbonate flamand et on passa notre temps à évoquer le bon vieux temps et à parler des amis disparus ou rescapés de notre épopée tunisienne. Je fus bien obligé d’expliquer l’absence de mon épouse et de donner quelques précisions sur ma vie sentimentale actuelle.
    
    Dix-huit heures tapantes, on était au ...
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