1. Le bout de la fin


    Datte: 30/09/2019, Catégories: ffh, sf, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... halètements cadencés d’Arcadia.
    
    Un ultime orgasme dévastateur eut raison de Susan. Elle devint toute molle, perdit connaissance comme ça lui arrivait quand la jouissance était trop intense. Affolée, Arcadia éjecta le spationaute, roula sur le côté et tenta de la ranimer. Elle eut droit à un sourire bienheureux suivi d’un murmure :
    
    — J’ai mon compte ! Tu as été merveilleuse ! À vous maintenant !
    
    Très romantique, Arcadia, s’installa sur le dos, agrippa ses cuisses, les ouvrit largement et ordonna :
    
    — Prends-moi par mon petit trou. C’est ça que j’aime avec un mec.
    
    Vexé, il lui rétorqua :
    
    — À sec ou tu veux que…
    — T’es pas long, mais t’es large une petite mise en bouche ne serait pas inutile.
    
    Il plongea la bouche sur le clito – depuis qu’il l’avait vu, il rêvait de le téter. Lubrifiant ses doigts entre les grandes lèvres, il les envoya vers la porte de service afin qu’ils préparent le chemin. Elle avait du poil au cul. De son minou au bas du dos, une petite toison habitait sa raie culière. Cette pilosité dont il avait perdu l’habitude fit grimper d’un cran son envie.
    
    Pour plus de confort Arcadia avait attrapé un coussin qu’elle avait glissé sous ses reins. Elle reposa ses pieds de part et d’autre de l’homme qui la mignardait. Si d’une main elle caressait le crane lisse d’Heinrich, de l’autre, elle attira Susan vers elle. C’était reparti pour un baiser langoureux.
    
    Maintenant que ses doigts avaient bien ouvert le passage, une reconnaissance linguale ...
    ... s’imposait. Pour cela, il repoussa, en les serrant, les jambes d’Arcadia contre ses seins. Sa langue baisant le cul dilaté, ses doigts masturbant le clito gonflé, le rut n’était pas loin.
    
    Il récupéra un second coussin qui suréleva encore l’entresol de la belle brune. Ainsi son œillet avait juste la bonne altitude. La saisissant par les chevilles, il pointa Popaul contre l’anus. Se montrant aussi romantique qu’elle, il la pénétra d’un coup. Elle sursauta sous l’impact.
    
    Il lui ouvrit brusquement les cuisses, plaqua les mains, doigts crispés sur ses gros nénés. Il entreprit de lents va-et-vient, déculant et s’enfonçant jusqu’à la garde à chaque fois. Très jouissif la sensation de lui rouvrir son trou du cul à chaque passage.
    
    Il malaxait ses mamelons, les comprimait, les accolait l’un à l’autre puis les écartait aussitôt. Il en pinçait les tétons, y plantait ses ongles. Il alternait douces caresses et gestes plus appuyés
    
    Sa remarque vulgaire et méprisante lui avait profondément déplu. Il voulait la mater. Il n’était pas question qu’elle l’ait. C’est elle qui demanderait grâce. Aussi surveillait-il son souffle calquant son rythme sur ses réactions.
    
    Dès qu’il percevait sa respiration s’altérer, il stoppait tout. La bite pointée à l’entrée de son anus dilaté, les doigts plantés dans ses mamelles gonflées.
    
    Elle savoura les premiers arrêts.
    
    Au troisième, elle soupira et tenta de réembrayer le mouvement. Il se montra intransigeant. La maintenant écartelée, il attendit ...
«12...8910...»