1. Le bout de la fin


    Datte: 30/09/2019, Catégories: ffh, sf, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... trempées, frottements délicieux contre ses cuisses. Doigts taquineurs sur sa poitrine. Mains araignées sur son pénis et ses testicules. Deux femmes momentanément apaisées lui délivraient des câlins parallèles.
    
    Les deux coquines agissaient avec un synchronisme parfait. Lorsqu’elles brisèrent le baiser, leurs bouches dans une adorable simultanéité gobèrent ses tétins. Quatre globes sublimes emprisonnèrent sa queue gorgée de sève. Les effleurements répétés de leurs bourgeons bandés lui procurait un émoi intense.
    
    Rapidement, les filles, leurs sens de nouveau éveillés, retournaient à leurs plaisirs saphiques. La poitrine du Suédois leur servait de terrain de jeu pour des baisers des plus lascifs. Quant à leurs seins, ils avaient oublié l’existence du pénis. Cela tournait à un duel entre tétons. Il profitait indirectement de leurs caresses.
    
    Il en profitait tellement qu’arriva le moment… Il se dégagea promptement par le haut. Ne pouvant échapper au passage à quelques bisous mouillés sur son vit. Il était temps. Popaul commençait à déborder.
    
    Les corps aimantés des filles avaient immédiatement comblé le vide de son départ. Scotchées l’une à l’autre, bouche à bouche, sein à seins, motte à motte, elles ondulaient.
    
    Après avoir frôlé une éjaculation prématurée, il se réinstallait à cette place de spectateur qui lui permettait de recouvrer un peu de sang froid tout en demeurant très impliqué.
    
    Il put admirer la plastique élégante d’Arcadia sous toutes ses faces. Il s’était ...
    ... déjà régalé de sa gorge aux renflements conséquents, il eut le souffle coupé à la vision, trop vite cachée par une tête empressée, de son minou si joliment tatoué.
    
    Par contre, quand elle couvrit Susan, il contempla à loisirs son dos à la fine musculature tressaillant au gré de ses mouvements. Ses hanches étroites, ses minces fesses de mec se soulevant rythmiquement au-dessus de sa maîtresse le ramenèrent à certains de ses exploits homo.
    
    Elle baisait vraiment comme un homme. Il imaginait son gros bourgeon pénétrer la vulve inondée de l’Italienne. Celle-ci gémissait sous les coups de boutoirs. Pensée pernicieuse ou simple constat : sa maîtresse appréciait les plaisirs de Lesbos pour le fun, Arcadia, elle, devait avoir un fort penchant lesbien.
    
    Il n’empêche qu’ainsi positionnée, elle lui offrait une vue et un angle d’attaque privilégiés sur ses (entre) fesses et cuisses. Quittant son rôle passif, il pointa son dard à l’entrée principale de l’astronaute. À sa grande surprise, bien que l’endroit fût lubrifié en abondance, il eut quelque mal à s’y enfoncer. La voie se révéla étroite et Arcadia, toute à son pilonnage, ne l’aida guère.
    
    Il dut la cramponner aux hanches et pousser violemment pour se retrouver enfin fiché en elle. Sous ce double pistonnage, Susan hululait. Elle eut un nouvel orgasme qui décupla l’ardeur d’Arcadia. Lui dut hausser le tempo pour se maintenir dans le rythme.
    
    La cabine résonnait des cris inarticulés de Susan, des ahanements d’Heinrich et des ...
«12...789...12»