1. Chapitre 2 : Démarcheur à domicile 2 " Petites culottes perdues "


    Datte: 14/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    D’habitude les réunions de vente se passent tantôt chez l’une, tantôt chez l’autre. Or jamais Marion n’a accueilli un groupe. C’est assez étonnant. Ce dimanche à la mi-temps du match l’entraîneur me demande d’entrer sur le terrain. Hélas un tacle brutal me renvoie au vestiaire. Ma femme qui me sert d’infirmière ne m’y suit pas. Et pour cause, elle y est déjà, pas seule mais pas visible. Sa voix me parvient d’une cabine de douche, un peu chevrotante, déformée par une émotion. Étrange.
    
    - Attends Gérard, j’enlève le bas de mon jogging, sinon il sera tout mouillé. Ne sois pas si pressé, mon mari va faire la mi-temps.
    
    - Dans ce cas retire aussi ta culotte et donne-la moi, j’aurai un souvenir de toi et chaque fois que j’y mettrai mon nez, j’aurai l’odeur de ta chatte. Hum !
    
    - On fait comment aujourd’hui ? Ah! Tu t’assieds sur la banquette. Je dois te faire face et à califourchon me planter sur ta queue ? D’accord, j’adore cette position. T’es bien raide, ça va rentrer tout seul.
    
    - Il faut varier. Comment on a fait jeudi ? Une levrette si je me souviens bien ?
    
    - Non, la levrette c’était le jeudi d’avant. Mais jeudi, tu m’as fait faux bond, tu devais m’expliquer. Je t’écoute.
    
    - Ma femme, comme toujours ! Elle ne m’a pas lâché la grappe, je n’ai pas arrêté de bricoler la machine à laver, le vélo. On dirait qu’elle sent quand j’ai rendez-vous avec toi. Elle multiplie les obstacles et me met en retard.
    
    - Tu aurais pu m’envoyer un s.m.s. au lieu de me laisser ...
    ... poireauter. Bon, tu es là, c’est l’essentiel, place toi bien, remue un peu pour ajuster ton gland
    
    - D’accord. Bon tu m’attrapes la bite. Oui, frotte. Merde, tu n’as toujours pas rasé tes poils. C’est comme des lames de rasoir. La vache, ça coupe. Montre. T’as de la chance, je ne saigne pas. Faudra raser autour de la cramouille au moins. C’est ça, entre la tête, oui, au chaud.
    
    - Oh ! J’aime ta bite. Qu’est-ce qu’elle est grosse ! Elle m’élargit, mes parois se tendent, les nerfs sont à vif. Je la sens buter contre mon utérus. Oh! Oui, laisse-moi prendre de l’élan
    
    - Fais gaffe quand même, tu me plies et un beau jour tu me la casseras.
    
    - Han…euh…hn… heu… hooo. Plus fort
    
    - Tiens, prends. Bon tourne-toi, mets tes mains sur la banquette et tourne tes fesses. Quel beau cul.
    
    - Oui, c’est moins risqué dans le petit trou. Ne fais pas la brute, je ne veux pas marcher comme un canard. Ah! Ouiii
    
    - Écoute, le public crie, on a marqué ! C’est peut-être ton Jules. Ça m’embêterait. Le coach était d’accord pour le faire jouer avec la réserve. S’il marque mon plan sera foutu, nous ne pourrions pas nous voir chez toi les samedis.
    
    - Tu exagères, Gérard. Le jeudi, oui. Tu devrais t’en contenter. Garde des forces pour Odette. Un jour elle se posera des questions. Pas le samedi. Il y a souvent de la visite de la famille, la mère de mon homme ou la mienne, des fois ma sœur. C’est trop compliqué de baiser dans ces conditions. Je n’aime pas interrompre un coït et aller accueillir des ...
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