1. La colère - L'envie


    Datte: 27/09/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, copains, profélève, campagne, caférestau, toilettes, vengeance, dispute, pénétratio, glaçon, Humour Auteur: Vagant, Source: Revebebe

    ... impossible, prendre la seconde était à ma portée.
    
    L’occasion s’est donc présentée un après-midi particulièrement torride, trois jours après mon arrivée. Je déambulais dans les couloirs du « château » à la recherche d’un peu de fraîcheur lorsque j’ai croisé Agnès, les joues rouges d’être surprise dans une tenue quelque peu indécente. Elle revenait de la cuisine avec un grand verre de glaçons à la main. Elle avait dû le passer sur ses bras et sur sa poitrine pour se rafraîchir un peu, mais les gouttes de condensation avaient laissé de larges auréoles transparentes sur sa robe à bretelles en coton blanc, dont une surlignait un téton bien dressé après le passage de la glace dans une zone si sensible.
    
    Je l’ai arrêtée au passage sous prétexte de lui emprunter quelques glaçons.
    
    — Vous permettez, Agnès ? ai-je dit en retirant mon tee-shirt.
    
    Et sans la quitter des yeux, j’ai fait courir un glaçon sur mon torse, insistant bien sur mes pectoraux et mes épaules, jusqu’à ce qu’il fonde complètement, laissant derrière lui une trace luisante et quelques gouttelettes qui perlaient sur ma peau bronzée. Face à moi Agnès, dont le visage virait à l’écarlate, semblait tétanisée. Seuls bougeaient ses yeux verts écarquillés qui couraient sur mon corps d’éphèbe tels deux petites bêtes traquées par un prédateur nommé désir.
    
    De temps à autres, la pointe de sa langue rose passait rapidement sur ses lèvres sèches, presque subrepticement, comme pour échapper à ma bouche gourmande à ...
    ... quelques centimètres de la sienne. J’ai pris un autre glaçon dans le verre.
    
    — Laissez-moi faire ! ai-je ordonné en posant le glaçon sur son épaule sans lui laisser le temps de répondre.
    
    Et je l’ai lentement fait glisser sur sa nuque. La réaction souhaitée ne s’est pas fait attendre : ses paupières ont vacillé, sa bouche s’est ouverte pour happer l’air qui semblait soudain lui manquer et sa poitrine s’est gonflée, jusqu’aux pointes de ses seins hérissées qui frôlaient ma peau. Mes lèvres sont parties à l’assaut des siennes comme une charge héroïque tandis que je l’étreignais fougueusement, abandonnant le glaçon dans sa robe. Il est tombé jusqu’au creux de ses reins, bloqué par ma main qui lui malaxait les fesses au travers de sa robe mouillée.
    
    Les mains d’Agnès s’affolaient sur mon dos, agrippaient mes muscles saillants, griffaient ma peau, me repoussaient et m’attiraient contre elle dans un même mouvement éperdu. Dès que ma bouche abandonnait la sienne, juste le temps de lui laisser reprendre son souffle, la pauvre femme murmurait des« non… non… » avant que ma langue s’emmêle positivement dans la sienne. Sa main droite, doigts en éventails et paume plaquée contre ma peau luisante de sueur, glissa tout au long de mon torse jusqu’à tomber sur la bosse outrageuse que formait ma verge gonflée dans mon jean…
    
    Soudain, Agnès m’a repoussé violemment contre le mur en criant :
    
    — Non ! Je ne peux pas ! Pas avec un enfant !
    
    Et elle a couru en larmes jusqu’à la porte de sa ...