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Salon de coiffure pour dames
Datte: 26/12/2025, Catégories: #collaboratif, #personnages, fff, coiffure, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: ClubAA, Source: Revebebe
... pas passer inaperçue. Gling ! Gling ! Rien que le tintement de la clochette, quand j’ouvre la porte, m’indique le niveau de technologie de l’endroit : bienvenue dans les années cinquante ! À peine rentrée, c’est la confirmation. Oh putain ! J’aurais tellement voulu me tromper. Au vu du papier peint (le même que chez mes vieux) et des magazines d’un autre âge posés sur la petite table basse, la pièce semble avoir été figée dans le temps… depuis… bien, bien longtemps. Et ce ne sont pas les coiffures, trônant au-dessus des yeux qui me fixent, qui vont contredire ma théorie : j’ai fait un putain de bon dans le passé, c’est sûr ! C’est quoi toutes ces momies ? Je pourrais presque sentir l’odeur du formol ! Au milieu des magazines, j’aperçois même un recueil d’histoires de cette fameuse Juliette G. Mouais, pas mal… mais ça ne vaut pas du Wedreca ! Allez ! Je ne vais pas faire ma difficile. Tu vas prendre sur toi, ma grande ! T’as besoin d’une nouvelle coupe et il n’y a pas d’autres solutions. Alors, souris et sois sociable ! — Bonjour ! C’est à peine si quelques-unes ont esquissé une réponse en retour, que les voilà retournées à leur occupation : elles sont en train de se faire passer un bout de papier en faisant des têtes plus outrées les unes que les autres. Je suis tombée chez les folles… j’ai vraiment le bol, moi ! Et puis, je la vois… Putain de merde, la meuf ! Au milieu de toutes ces daronnes, une jolie Asiatique toute timide attend sagement son ...
... tour, rougissant à chaque passage du fameux papier. Ce n’est pas que je sois une morte de faim, hein… mais cette vision féérique, au milieu de ce décor, fait naître dans mon corps comme des sensations… étrangement connues. Allez ! Vas-y, ma grande ! La chaise libre à côté d’elle, elle est pour toi ! Tout en m’asseyant, je ne peux m’empêcher de plonger mon regard dans son petit décolleté trop mimi. Waouh ! Je sens que je vais avoir chaud, moi. Mais je n’ai pas le temps de voir si elle a jeté un regard vers moi, que le papier de toutes les attentions arrive dans les mains de ma voisine de droite. Je lis alors les quelques mots inscrits sur la feuille et reste figée de stupéfaction. Putain de merde ! C’est quoi ce bordel ? Ce n’est pas tant le contenu qui me glace le sang, non… Au collège, j’en écrivais déjà des bien pires. Non, ce qui me scotche, comme une pucelle en classe devant son manuel d’anatomie, c’est que ce mot… ce n’est pas la première fois que je le vois. Assise entre ma vision de rêve et le clone (pas dégueu non plus) de Pénélope Cruz, je mets ma main dans ma poche et en sors mon papier… puis le déplie. Mais alors que l’Espagnole est en train de charrier la patronne, en nous proposant d’assister à un bon défonçage de chatte en règle, une main s’abat sur la mienne pour en cacher le contenu. Tournant la tête vers la propriétaire de la main, je reste figée : deux grands yeux me fixent d’un air… entre apeuré et horrifié. Mais qu’ils sont beaux, putain… Je ...