-
Folle du Cul - Ch. 03
Datte: 24/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: meo75, Source: Literotica
... portes bien ton nom d'enculée. Je vais adorer t'éclater les fesses, tu vas penser à moi longtemps A cet instant, je veux juste disparaître, ce souvenir est tellement humiliant. Le premier coup de canne m'arrache un cri incontrôlé, la brûle est immédiate, se propage en profondeur, et n'a pas le temps de s'atténuer qu'un second coup s'abat, la flagellation s'enchaîne, rapidement, violemment, rien à voir avec les épisodes précédent. Je hurle, je pleure, je supplie, je m'effondre mentalement, je promets tout ce qu'elle voudra, je m'urine même un peu dessus, mais, dans la pénombre, personne ne le réalise. Elle fait une pause, passe devant moi, me fait baiser sa main en remerciement, je me sens une telle merde, je la trouve magnifique, je le lui dis, je n'ai le droit qu'à son mépris en retour, ce qui me fait pleurer d'humiliation. Antoine vient me serrer la main, je lui suis tellement reconnaissant, mais déjà il s'éloigne, et le supplice reprend. C'est encore plus dur, je décide d'accepter, de ...
... ne plus réagir, je gémis, je marque chaque coup, mais je ne supplie plus, je lui dis juste que je suis tout à elle. Quand c'est fini, Antoine vient me détacher, je ne tiens pas sur mes jambes, mon cul comme mes fesses ne sont que souffrance. Je passe une main, cela ne ressemble à rien, de nombreux sillons, certains humide, est-ce du sang? Je reviens à quatre pattes dans le salon, je me précipite aux pieds de la Maîtresse, qui a récupéré son soumis, pour les baiser et la remercier. Elle ne réagit pas, semble ennuyée, me repousse, je suis au désespoir. Antoine me fait mettre à genoux, tire mes cheveux en arrière, me gifle, je suis sonnée, je le regarde sans rien comprendre. Une seconde gifle, puis d'autres, je pleure sans discontinuer, je m'effondre, je lâche. Enfin je me jette dans ses bras, je lève mes yeux vers lui, ils sont plein d'amour et de dévotion, je ne sais s'il sait lire ces sentiments, je suis incapable de les exprimer. Mon cul n'en peut plus, j'appuie dessus, Antoine est ravi.